Quand Jack Every débarque...

Quand Jack Every débarque, ça fait à peu près ça:
(roulement de tambours, mise en place du tapis rouge, musique de Tchaikovsky, feu d'artifice, vente de popcorn illégale, vente de hot dog illégale, vente de capotes légale et enfin... tonnerre d'applaudissements, montée en puissance de la musique, destruction symbolique des symboles de l'oppression!)

Voilà l'effet que ça peut produire sur certains.
Mais aujourd'hui, Jack Every était venu en homme, en mortel, en gars qui change ses souvêtements une à deux fois par semaine.

Il entra donc dans l'auberge de La Confrérie de l'Ombre, en espérant grandement qu'elle serait éclairée.

Argawaen accoudé au bar a son habitude senti un léger courant d'air lorsque la porte souvrit. Il se retourna tranquilement pour voir qui venait d'entrée. Il regarda l'homme le détaillant soigneusement de haut en bas. Puis s'avança quelque peut.

Salutation étranger, je suis argawaen. Je ne sais si vous le savez, mais vous êtes ici en terre des ombres. Est-ce que vous êtes la pour un contrat? ou en simple voyageur...

Il essayé d'évaluer si cet homme pouvais éventuellement être un client intéressant. Regardant ses vetêment de bonne fabrication et ses bottes. Il se dit que oui, l'homme devait être assez bien nantie. Restait a savoir pourquoi il venait chez les ombres par contre.

Jack Every se tourna vers Argawaen. Il le regarda droit dans les yeux, d'un regard explicite. Il le regarda comme un prédateur regarde sa proie, comme un chat regarde sa boite de sheba, comme Emile Louis regarde... bref.
Jack dit doucement, à l'attention d'Argawaen:
- Pour l'instant je ne suis qu'un simple voyageur. Mais il se pourrait bien que j'ai quelque chose qui pourrait vous intéresser...

A ces mots, Jack ouvrit son blouson. Dedans, il y avait des montres, des paires de lunettes, des capotes, des tampons, des boîtes de chewing-gum, des têtes de chiens miniatures, des doigts, des livres écris par Loana et Patrick Bruel et pleins d'autres objets bizarres.
- Attention attention! Vous ne trouverez ces objets nul part ailleurs! Dépêchez-vous, ma marchandise est en édition limitée! Bientôt il n'y en aura plus! Alors venez vite!

Il referma son blouson.
- J'espère que cet endroit est à l'abri de la loi Afterendienne... bon... en fait j'ai fait tout ce chemin car on m'a dit que votre vod'kah était excellente. Je suis un grand amateur de vod'kah vous savez...

Il regarda incrédule ce... le.... cet espèce de vendeur ambulant. Puis se tourna vers le comptoir.

La belette apporte a notre ami ici présent un verre de vodk'a et ne la coupa pas avec de l'eau ou c'est moi qui te noie...

Puis revenant a l'homme en question.

La loi quoi??? Connais pas, ici seul la loi des ombres est appliqué. Tous ou presque y est tolérer et ce qu'on tolère pas on le vire à grand coup de pied.

Un petit rictus se dessina sur ses lèvre.

Quand a vos.... articles... il se retien de dire cochonerie... je n'en n'ai nul besoin et je crois pas que vous trouviez grand preneur ici.

Il sortie de 2 ou 3 cm de son foureau son épé à lame bleu.

Voila tous ce dont j'ai de besoin, mais je vous remerci quand même de votre offre. Mais vous ne m'avez pas dit comment vous vous appeliez...

Il remit son épé en place et par desus l'épaule de l'homme argawaen pouvait appercevoir anquale toujours assise tranquilement à ca table.

- J'aime les gens qui parlent comme vous.
"La belette apporte a notre ami ici présent un verre de vodk'a et ne la coupa pas avec de l'eau ou c'est moi qui te noie..."
C'est ça qu'jaime voir!

Il regarda le serveur.
- Je lui aurai plutôt donné une tête de renard.

Il se retourna vers Argawaen:
- Je me présente: Jack Every, membre de Citadelle.
Mais vous pouvez m'appeler Jack, ou Jack Every, ou Jack Every le membre de la Citadelle, ou encore Jim.

Il prit la vod'kah qu'on lui avait offerte:
- Ca va, c'est pas du vieu com'. Je reviendrai plus souvent ici.

Pui il se tourna vers Anqualë:
- Bonjour jeune demoiselle. Vous m'offrez un verre? J'accepte avec joie!
A qui ai-je l'honneur?

Il demanda au serveur un autre verre de vod'kah.

Anqualë regarda l'homme qui s'adressait à elle, puis, lui repondit sobrement :

On me nomme Anqualë.

Elle le salua d'un signe de tete et fit de meme envers le seigneur Argawaen, puis detourna le regard.

il sourira a la réaction de anquale.

Et bien vous serez toujours le bienvenu dans le coin jack.

Tans mieux, si mon franc parler vous plais.

Il leva son verre en direction de anquale et en pris un gorger.

Les affaires se passe bien a citadelle?

Il répondit à Argawaen:
- Ahhhhh, j'aime bien cette Auberge! Je reviendrai plus souvent. Si vous souhaitez goûter à la meilleure vod'kah de tout Afterend, venez faire un tour à Citadelle. Vous y serez très bien reçu.
Chez nous tout se passe pour le mieux. Il y a bien sûr des petites broutilles quotidiennes, mais rien de grave.
Si vous le permettez, j'aimerai célébrer notre rencontre par une coutume de ma région d'origine: le bisou power.

Il s'approcha d'Argawaen et lui fit un bisou.
Il fit de même à Anqualë.
- Voilà voilà! Nous sommes liés par le bisou power maintenant!

Oui, il faudrais bien que je passe visité les terres de citadelles on les dit riches non?

Un coutume, en quoi consitel... Le quoi... le bis...

Argawaen n'eu pas le temps de finir sa phrase que jack lui sauta dessus. Puis se retourna et fit pareil avec anquale. Surpris sur le coup il se remis rapidement et se recula d,un pas la main sur le manche de son poignard...

C'est peut être une coutume chez vous, mais je vous conseille fortemetn de plus jamais réssayé se truc la avec moi parce qu'il vous en coutera très cher...

Le regard toujours mauvais il marmamona pour lui même...

On peux comprendre que certain utilise une aussi basse technique pour avoir un baiser d,une dame mais d,un seigneur franchement... Quel sort de pays est-ce que citadelle...

Elle resta un moment le regard fixé sur le seigneur, sous le coup de l'etonnement. Argawaen reagit plus vite qu'elle, la main au fourreau s'offusquant d'un tel comportement. Decidant de ne pas rencherir de trop, elle ajouta simplement d'un air agacé:

Et ne recommencez pas celà sans mon consentement... Ce sont des initiatives que je n'apprecie guere.

Le seigneur Argawaen semblait assez mecontent, elle pris le parti d'expliqué à l'homme qui s'etonnerai peut etre d'une telle reaction.

C'est peut etre la coutume chez vous, mais prenez garde au choc des cultures... c'est un conseil, ni plus ni moins.
Sur ce messieurs, ne nous egorgons pas pour une simple bise... et buvont plutot un verre à la maniere plus commune pour debuter les liens qui peut etre nous unirons.

La jeune femme commanda une bouteille de Whiskley, et servi les verres sans attendre.