Petite histoire

Il était une fois une femme qui chevauchait dans la plaine.
Le temps était magnifique, seule une légère brise faisait voler ses cheveux.
Au loin, quelques ruminants, affalés sur l'herbe, laissaient le temps défiler.
La plaine s'étendait à perte de vue, nul ne savait où elle se terminait.

Une flèche fendit l'air et vint se figer à quelques pas de la cavalière. Son cheval se cabra de surprise, mais la cavalière savait tenir sur sa monture. La bête calmée elle cherchait a savoir d'ou venait la fleche et pourquoi.
Elle aperçut au loin une forme étrange et la héla.

-Hey toi là bas! Fais donc attention!

Elle n'obtint aucune réponse, piquée au vif, elle décida de s'approcher prudemment.
Un garçon d'une quinzaine d'années lui fait face et lui dit :

-S'cuzez m'dam, j'pa fé expré!

-Et bien aprend a faire mieux, tu peux m'indiquer la ville la plus proche?

-C'est Zlima, avec un "z", comme... Zlima ! T'es qui toi ?

-Moi? je suis perdue, je cherche un endroit où me restaurer.

-Bonjour Perdu; c'est un drôle de nom! dit le gamin en éclatant de rire.

Elle le toisa d'un regard noir, mais le garçon ne se démonta pas. Elle songea un court instant a lui tanner le cuir, histoire qu'il apprenne le respect.

-Donne moi 200 mistrels et je te guiderai jusqu'à la ville.

-Et si je te donnais plutôt un coup de ça? lui montrant sa botte.

Le garçon s'éloigna un peu de la renaissante, arretant de rire.
Elle réfléchit un instant, se ravisa, sortit un sachet et pris un air mystérieux...

-Nous pouvons peut-être faire un arrangement petit.
J'ai là de quoi satisfaire ta demande, mais si tu revoyais ton tarif?
Tu me sers de guide et tu as le contenu de ce sachet...alors?

Il la regarda indécis.- Et qu'est-ce qu'il y a exactement là dedans, dit-il en montrant le sachet du doigt.
- Une surprise mon grand, tu ne le sauras que si tu accomplis ton travail.

Il hésita longuement, elle se dit qu'il allait refuser, mais il accepta.

Bon, allons-y ! Tu as su piquer au vif ma curiosité

Elle se dit qu'il paraissait bien sérieux d'un coup, il avait moins la gouaille. Quelle surprise pouvait bien lui réserver cette nouvelle attitude?
Peut importait, elle avait un guide à présent.

"Eh bien, en route!" dit-elle. Et ils partirent en direction du Sud

Les deux personnages marchaient à présent ensemble..le petit garçon ne savait pas encore si il faisait là une bonne affaire..
Cette femme était vraiment étrange... mais qu'elle était belle!
Elle lui rappelait cette jeune fille qu'il avait cotoyer il y a quelque mois et dont il était éperdument amoureux. C'était cela qui l'avait poussé à la guider, bien plus que le fameux sachet!

"Au fait", lui demanda-t-elle, "pourquoi m'as tu tiré dessus tout à l'heure ?
-C'est une tradition chez nous, on tire sur tous ce qui bouge...

"tout à fait charmant" bougonna-t-elle. "Et as-tu tenté de me toucher ou as-tu fait exprès de me rater?"

Le petit garçon hésita quelque seconde avant de répondre...
"Heu je vous ai volontairement ratée..."

"ah oui bien sûr..." dit-elle. "Au fait, quel est ton nom et d'où viens-tu??"

"je m'appelle Mimi-Siku ça veux dire pipi de chat. Et toi ?"

"Mimi-siku? en voilà un drôle de nom!..moi c'est Ségolène..., ça signifie Victoire et tu sauras que je porte bien mon nom!"

"Ha ué et pourquoi sa?"

"Tout simplement parce-que je n'ai encore perdu aucun de mes combats, et ce n'est pas faute d'en avoir eu!!"

"Quel sera votre prochain combat?"

"Je l'ignore, ce sera avant longtemps j'espère! j'aimerai pouvoir me reposer..."

"Ah ben vous êtes pas une vrai guerrière alors" l'insolence du petit garçon avait repris de plus belle "Parce que moi mon papounet eh ben il dit que y a que les hommes qui sont des guerriers et que ils font toujours la guerre même si ils sont en train de mourrir. "Alors vous êtes une vraie guerrière ou pas?"

Il était une fois une femme qui chevauchait dans la plaine.
Le temps était magnifique, seule une légère brise faisait voler ses cheveux.
Au loin, quelques ruminants, affalés sur l'herbe, laissaient le temps défiler.
La plaine s'étendait à perte de vue, nul ne savait où elle se terminait.

Une flèche fendit l'air et vint se figer à quelques pas de la cavalière. Son cheval se cabra de surprise, mais la cavalière savait tenir sur sa monture. La bête calmée elle cherchait a savoir d'ou venait la fleche et pourquoi.
Elle aperçut au loin une forme étrange et la héla.

-Hey toi là bas! Fais donc attention!

Elle n'obtint aucune réponse, piquée au vif, elle décida de s'approcher prudemment.
Un garçon d'une quinzaine d'années lui fait face et lui dit :

-S'cuzez m'dam, j'pa fé expré!

-Et bien aprend a faire mieux, tu peux m'indiquer la ville la plus proche?

-C'est Zlima, avec un "z", comme... Zlima ! T'es qui toi ?

-Moi? je suis perdue, je cherche un endroit où me restaurer.

-Bonjour Perdu; c'est un drôle de nom! dit le gamin en éclatant de rire.

Elle le toisa d'un regard noir, mais le garçon ne se démonta pas. Elle songea un court instant a lui tanner le cuir, histoire qu'il apprenne le respect.

-Donne moi 200 mistrels et je te guiderai jusqu'à la ville.

-Et si je te donnais plutôt un coup de ça? lui montrant sa botte.

Le garçon s'éloigna un peu de la renaissante, arretant de rire.
Elle réfléchit un instant, se ravisa, sortit un sachet et pris un air mystérieux...

-Nous pouvons peut-être faire un arrangement petit.
J'ai là de quoi satisfaire ta demande, mais si tu revoyais ton tarif?
Tu me sers de guide et tu as le contenu de ce sachet...alors?

Il la regarda indécis.- Et qu'est-ce qu'il y a exactement là dedans, dit-il en montrant le sachet du doigt.
- Une surprise mon grand, tu ne le sauras que si tu accomplis ton travail.

Il hésita longuement, elle se dit qu'il allait refuser, mais il accepta.

Bon, allons-y ! Tu as su piquer au vif ma curiosité

Elle se dit qu'il paraissait bien sérieux d'un coup, il avait moins la gouaille. Quelle surprise pouvait bien lui réserver cette nouvelle attitude?
Peut importait, elle avait un guide à présent.

"Eh bien, en route!" dit-elle. Et ils partirent en direction du Sud

Les deux personnages marchaient à présent ensemble..le petit garçon ne savait pas encore si il faisait là une bonne affaire..
Cette femme était vraiment étrange... mais qu'elle était belle!
Elle lui rappelait cette jeune fille qu'il avait cotoyer il y a quelque mois et dont il était éperdument amoureux. C'était cela qui l'avait poussé à la guider, bien plus que le fameux sachet!

"Au fait", lui demanda-t-elle, "pourquoi m'as tu tiré dessus tout à l'heure ?
-C'est une tradition chez nous, on tire sur tous ce qui bouge...

"tout à fait charmant" bougonna-t-elle. "Et as-tu tenté de me toucher ou as-tu fait exprès de me rater?"

Le petit garçon hésita quelque seconde avant de répondre...
"Heu je vous ai volontairement ratée..."

"ah oui bien sûr..." dit-elle. "Au fait, quel est ton nom et d'où viens-tu??"

"je m'appelle Mimi-Siku ça veux dire pipi de chat. Et toi ?"

"Mimi-siku? en voilà un drôle de nom!..moi c'est Ségolène..., ça signifie Victoire et tu sauras que je porte bien mon nom!"

"Ha ué et pourquoi sa?"

"Tout simplement parce-que je n'ai encore perdu aucun de mes combats, et ce n'est pas faute d'en avoir eu!!"

"Quel sera votre prochain combat?"

"Je l'ignore, ce sera avant longtemps j'espère! j'aimerai pouvoir me reposer..."

"Ah ben vous êtes pas une vrai guerrière alors" l'insolence du petit garçon avait repris de plus belle "Parce que moi mon papounet eh ben il dit que y a que les hommes qui sont des guerriers et que ils font toujours la guerre même si ils sont en train de mourrir. "Alors vous êtes une vraie guerrière ou pas?"

"hmmm, et bien, selon les critères de ton 'papounet', à l'évidence je ne suis pas une vraie guerrière, puisque je ne suis pas un homme. ensuite, selon les critères de mes ennemis (paix à leurs âmes), et bien, je pense que l'on peut répondre par l'affirmative!"

Il était une fois une femme qui chevauchait dans la plaine.
Le temps était magnifique, seule une légère brise faisait voler ses cheveux.
Au loin, quelques ruminants, affalés sur l'herbe, laissaient le temps défiler.
La plaine s'étendait à perte de vue, nul ne savait où elle se terminait.

Une flèche fendit l'air et vint se figer à quelques pas de la cavalière. Son cheval se cabra de surprise, mais la cavalière savait tenir sur sa monture. La bête calmée elle cherchait a savoir d'ou venait la fleche et pourquoi.
Elle aperçut au loin une forme étrange et la héla.

-Hey toi là bas! Fais donc attention!

Elle n'obtint aucune réponse, piquée au vif, elle décida de s'approcher prudemment.
Un garçon d'une quinzaine d'années lui fait face et lui dit :

-S'cuzez m'dam, j'pa fé expré!

-Et bien aprend a faire mieux, tu peux m'indiquer la ville la plus proche?

-C'est Zlima, avec un "z", comme... Zlima ! T'es qui toi ?

-Moi? je suis perdue, je cherche un endroit où me restaurer.

-Bonjour Perdu; c'est un drôle de nom! dit le gamin en éclatant de rire.

Elle le toisa d'un regard noir, mais le garçon ne se démonta pas. Elle songea un court instant a lui tanner le cuir, histoire qu'il apprenne le respect.

-Donne moi 200 mistrels et je te guiderai jusqu'à la ville.

-Et si je te donnais plutôt un coup de ça? lui montrant sa botte.

Le garçon s'éloigna un peu de la renaissante, arretant de rire.
Elle réfléchit un instant, se ravisa, sortit un sachet et pris un air mystérieux...

-Nous pouvons peut-être faire un arrangement petit.
J'ai là de quoi satisfaire ta demande, mais si tu revoyais ton tarif?
Tu me sers de guide et tu as le contenu de ce sachet...alors?

Il la regarda indécis.- Et qu'est-ce qu'il y a exactement là dedans, dit-il en montrant le sachet du doigt.
- Une surprise mon grand, tu ne le sauras que si tu accomplis ton travail.

Il hésita longuement, elle se dit qu'il allait refuser, mais il accepta.

Bon, allons-y ! Tu as su piquer au vif ma curiosité

Elle se dit qu'il paraissait bien sérieux d'un coup, il avait moins la gouaille. Quelle surprise pouvait bien lui réserver cette nouvelle attitude?
Peut importait, elle avait un guide à présent.

"Eh bien, en route!" dit-elle. Et ils partirent en direction du Sud

Les deux personnages marchaient à présent ensemble..le petit garçon ne savait pas encore si il faisait là une bonne affaire..
Cette femme était vraiment étrange... mais qu'elle était belle!
Elle lui rappelait cette jeune fille qu'il avait cotoyer il y a quelque mois et dont il était éperdument amoureux. C'était cela qui l'avait poussé à la guider, bien plus que le fameux sachet!

"Au fait", lui demanda-t-elle, "pourquoi m'as tu tiré dessus tout à l'heure ?
-C'est une tradition chez nous, on tire sur tous ce qui bouge...

"tout à fait charmant" bougonna-t-elle. "Et as-tu tenté de me toucher ou as-tu fait exprès de me rater?"

Le petit garçon hésita quelque seconde avant de répondre...
"Heu je vous ai volontairement ratée..."

"ah oui bien sûr..." dit-elle. "Au fait, quel est ton nom et d'où viens-tu??"

"je m'appelle Mimi-Siku ça veux dire pipi de chat. Et toi ?"

"Mimi-siku? en voilà un drôle de nom!..moi c'est Ségolène..., ça signifie Victoire et tu sauras que je porte bien mon nom!"

"Ha ué et pourquoi sa?"

"Tout simplement parce-que je n'ai encore perdu aucun de mes combats, et ce n'est pas faute d'en avoir eu!!"

"Quel sera votre prochain combat?"

"Je l'ignore, ce sera avant longtemps j'espère! j'aimerai pouvoir me reposer..."

"Ah ben vous êtes pas une vrai guerrière alors" l'insolence du petit garçon avait repris de plus belle "Parce que moi mon papounet eh ben il dit que y a que les hommes qui sont des guerriers et que ils font toujours la guerre même si ils sont en train de mourrir. "Alors vous êtes une vraie guerrière ou pas?"

"hmmm, et bien, selon les critères de ton 'papounet', à l'évidence je ne suis pas une vraie guerrière, puisque je ne suis pas un homme. ensuite, selon les critères de mes ennemis (paix à leurs âmes), et bien, je pense que l'on peut répondre par l'affirmative!"

"pff facile de dire ça ! t'as des preuves que t'a tué des gens parce que moi mon papounet il a des squalps de toutes ses victimes !"

Il était une fois une femme qui chevauchait dans la plaine.
Le temps était magnifique, seule une légère brise faisait voler ses cheveux.
Au loin, quelques ruminants, affalés sur l'herbe, laissaient le temps défiler.
La plaine s'étendait à perte de vue, nul ne savait où elle se terminait.

Une flèche fendit l'air et vint se figer à quelques pas de la cavalière. Son cheval se cabra de surprise, mais la cavalière savait tenir sur sa monture. La bête calmée elle cherchait a savoir d'ou venait la fleche et pourquoi.
Elle aperçut au loin une forme étrange et la héla.

-Hey toi là bas! Fais donc attention!

Elle n'obtint aucune réponse, piquée au vif, elle décida de s'approcher prudemment.
Un garçon d'une quinzaine d'années lui fait face et lui dit :

-S'cuzez m'dam, j'pa fé expré!

-Et bien aprend a faire mieux, tu peux m'indiquer la ville la plus proche?

-C'est Zlima, avec un "z", comme... Zlima ! T'es qui toi ?

-Moi? je suis perdue, je cherche un endroit où me restaurer.

-Bonjour Perdu; c'est un drôle de nom! dit le gamin en éclatant de rire.

Elle le toisa d'un regard noir, mais le garçon ne se démonta pas. Elle songea un court instant a lui tanner le cuir, histoire qu'il apprenne le respect.

-Donne moi 200 mistrels et je te guiderai jusqu'à la ville.

-Et si je te donnais plutôt un coup de ça? lui montrant sa botte.

Le garçon s'éloigna un peu de la renaissante, arretant de rire.
Elle réfléchit un instant, se ravisa, sortit un sachet et pris un air mystérieux...

-Nous pouvons peut-être faire un arrangement petit.
J'ai là de quoi satisfaire ta demande, mais si tu revoyais ton tarif?
Tu me sers de guide et tu as le contenu de ce sachet...alors?

Il la regarda indécis.- Et qu'est-ce qu'il y a exactement là dedans, dit-il en montrant le sachet du doigt.
- Une surprise mon grand, tu ne le sauras que si tu accomplis ton travail.

Il hésita longuement, elle se dit qu'il allait refuser, mais il accepta.

Bon, allons-y ! Tu as su piquer au vif ma curiosité

Elle se dit qu'il paraissait bien sérieux d'un coup, il avait moins la gouaille. Quelle surprise pouvait bien lui réserver cette nouvelle attitude?
Peut importait, elle avait un guide à présent.

"Eh bien, en route!" dit-elle. Et ils partirent en direction du Sud

Les deux personnages marchaient à présent ensemble..le petit garçon ne savait pas encore si il faisait là une bonne affaire..
Cette femme était vraiment étrange... mais qu'elle était belle!
Elle lui rappelait cette jeune fille qu'il avait cotoyer il y a quelque mois et dont il était éperdument amoureux. C'était cela qui l'avait poussé à la guider, bien plus que le fameux sachet!

"Au fait", lui demanda-t-elle, "pourquoi m'as tu tiré dessus tout à l'heure ?
-C'est une tradition chez nous, on tire sur tous ce qui bouge...

"tout à fait charmant" bougonna-t-elle. "Et as-tu tenté de me toucher ou as-tu fait exprès de me rater?"

Le petit garçon hésita quelque seconde avant de répondre...
"Heu je vous ai volontairement ratée..."

"ah oui bien sûr..." dit-elle. "Au fait, quel est ton nom et d'où viens-tu??"

"je m'appelle Mimi-Siku ça veux dire pipi de chat. Et toi ?"

"Mimi-siku? en voilà un drôle de nom!..moi c'est Ségolène..., ça signifie Victoire et tu sauras que je porte bien mon nom!"

"Ha ué et pourquoi sa?"

"Tout simplement parce-que je n'ai encore perdu aucun de mes combats, et ce n'est pas faute d'en avoir eu!!"

"Quel sera votre prochain combat?"

"Je l'ignore, ce sera avant longtemps j'espère! j'aimerai pouvoir me reposer..."

"Ah ben vous êtes pas une vrai guerrière alors" l'insolence du petit garçon avait repris de plus belle "Parce que moi mon papounet eh ben il dit que y a que les hommes qui sont des guerriers et que ils font toujours la guerre même si ils sont en train de mourrir. "Alors vous êtes une vraie guerrière ou pas?"

"hmmm, et bien, selon les critères de ton 'papounet', à l'évidence je ne suis pas une vraie guerrière, puisque je ne suis pas un homme. ensuite, selon les critères de mes ennemis (paix à leurs âmes), et bien, je pense que l'on peut répondre par l'affirmative!"

"pff facile de dire ça ! t'as des preuves que t'a tué des gens parce que moi mon papounet il a des squalps de toutes ses victimes !"

Son 'papounet' commencait à lui courir sur le haricot. Elle se courba pour etre à la hauteur de l'enfant et le regarda avec un sourire qui se voulait sadique.

"tu voudrais bien que je te les montres ?"

Il était une fois une femme qui chevauchait dans la plaine.
Le temps était magnifique, seule une légère brise faisait voler ses cheveux.
Au loin, quelques ruminants, affalés sur l'herbe, laissaient le temps défiler.
La plaine s'étendait à perte de vue, nul ne savait où elle se terminait.

Une flèche fendit l'air et vint se figer à quelques pas de la cavalière. Son cheval se cabra de surprise, mais la cavalière savait tenir sur sa monture. La bête calmée elle cherchait a savoir d'ou venait la fleche et pourquoi.
Elle aperçut au loin une forme étrange et la héla.

-Hey toi là bas! Fais donc attention!

Elle n'obtint aucune réponse, piquée au vif, elle décida de s'approcher prudemment.
Un garçon d'une quinzaine d'années lui fait face et lui dit :

-S'cuzez m'dam, j'pa fé expré!

-Et bien aprend a faire mieux, tu peux m'indiquer la ville la plus proche?

-C'est Zlima, avec un "z", comme... Zlima ! T'es qui toi ?

-Moi? je suis perdue, je cherche un endroit où me restaurer.

-Bonjour Perdu; c'est un drôle de nom! dit le gamin en éclatant de rire.

Elle le toisa d'un regard noir, mais le garçon ne se démonta pas. Elle songea un court instant a lui tanner le cuir, histoire qu'il apprenne le respect.

-Donne moi 200 mistrels et je te guiderai jusqu'à la ville.

-Et si je te donnais plutôt un coup de ça? lui montrant sa botte.

Le garçon s'éloigna un peu de la renaissante, arretant de rire.
Elle réfléchit un instant, se ravisa, sortit un sachet et pris un air mystérieux...

-Nous pouvons peut-être faire un arrangement petit.
J'ai là de quoi satisfaire ta demande, mais si tu revoyais ton tarif?
Tu me sers de guide et tu as le contenu de ce sachet...alors?

Il la regarda indécis.- Et qu'est-ce qu'il y a exactement là dedans, dit-il en montrant le sachet du doigt.
- Une surprise mon grand, tu ne le sauras que si tu accomplis ton travail.

Il hésita longuement, elle se dit qu'il allait refuser, mais il accepta.

Bon, allons-y ! Tu as su piquer au vif ma curiosité

Elle se dit qu'il paraissait bien sérieux d'un coup, il avait moins la gouaille. Quelle surprise pouvait bien lui réserver cette nouvelle attitude?
Peut importait, elle avait un guide à présent.

"Eh bien, en route!" dit-elle. Et ils partirent en direction du Sud

Les deux personnages marchaient à présent ensemble..le petit garçon ne savait pas encore si il faisait là une bonne affaire..
Cette femme était vraiment étrange... mais qu'elle était belle!
Elle lui rappelait cette jeune fille qu'il avait cotoyer il y a quelque mois et dont il était éperdument amoureux. C'était cela qui l'avait poussé à la guider, bien plus que le fameux sachet!

"Au fait", lui demanda-t-elle, "pourquoi m'as tu tiré dessus tout à l'heure ?
-C'est une tradition chez nous, on tire sur tous ce qui bouge...

"tout à fait charmant" bougonna-t-elle. "Et as-tu tenté de me toucher ou as-tu fait exprès de me rater?"

Le petit garçon hésita quelque seconde avant de répondre...
"Heu je vous ai volontairement ratée..."

"ah oui bien sûr..." dit-elle. "Au fait, quel est ton nom et d'où viens-tu??"

"je m'appelle Mimi-Siku ça veux dire pipi de chat. Et toi ?"

"Mimi-siku? en voilà un drôle de nom!..moi c'est Ségolène..., ça signifie Victoire et tu sauras que je porte bien mon nom!"

"Ha ué et pourquoi sa?"

"Tout simplement parce-que je n'ai encore perdu aucun de mes combats, et ce n'est pas faute d'en avoir eu!!"

"Quel sera votre prochain combat?"

"Je l'ignore, ce sera avant longtemps j'espère! j'aimerai pouvoir me reposer..."

"Ah ben vous êtes pas une vrai guerrière alors" l'insolence du petit garçon avait repris de plus belle "Parce que moi mon papounet eh ben il dit que y a que les hommes qui sont des guerriers et que ils font toujours la guerre même si ils sont en train de mourrir. "Alors vous êtes une vraie guerrière ou pas?"

"hmmm, et bien, selon les critères de ton 'papounet', à l'évidence je ne suis pas une vraie guerrière, puisque je ne suis pas un homme. ensuite, selon les critères de mes ennemis (paix à leurs âmes), et bien, je pense que l'on peut répondre par l'affirmative!"

"pff facile de dire ça ! t'as des preuves que t'a tué des gens parce que moi mon papounet il a des squalps de toutes ses victimes !"

Son 'papounet' commençait à lui courir sur le haricot. Elle se courba pour être à la hauteur de l'enfant et le regarda avec un sourire qui se voulait sadique.

"tu voudrais bien que je te les montres ?"

l'enfant se recula, apeuré par le visage de la jeune femme, puis se reprenant, se disant que rien ne lui faisait peur, il rétorqua :

"vous êtes une fille, vous pouvez pas faire la guerre donc !!
les filles font pas la guerre, sinon mamounette la ferait!!"

il éclata de rire en pensant a sa mère faisant la guerre, il s'arrêta net et regarda la femme :

"pffffffff, et meme si vous avez des scalps, vous avez du les voler à un homme, je suis sur !!!"

Il était une fois une femme qui chevauchait dans la plaine.
Le temps était magnifique, seule une légère brise faisait voler ses cheveux.
Au loin, quelques ruminants, affalés sur l'herbe, laissaient le temps défiler.
La plaine s'étendait à perte de vue, nul ne savait où elle se terminait.

Une flèche fendit l'air et vint se figer à quelques pas de la cavalière. Son cheval se cabra de surprise, mais la cavalière savait tenir sur sa monture. La bête calmée elle cherchait a savoir d'ou venait la fleche et pourquoi.
Elle aperçut au loin une forme étrange et la héla.

-Hey toi là bas! Fais donc attention!

Elle n'obtint aucune réponse, piquée au vif, elle décida de s'approcher prudemment.
Un garçon d'une quinzaine d'années lui fait face et lui dit :

-S'cuzez m'dam, j'pa fé expré!

-Et bien aprend a faire mieux, tu peux m'indiquer la ville la plus proche?

-C'est Zlima, avec un "z", comme... Zlima ! T'es qui toi ?

-Moi? je suis perdue, je cherche un endroit où me restaurer.

-Bonjour Perdu; c'est un drôle de nom! dit le gamin en éclatant de rire.

Elle le toisa d'un regard noir, mais le garçon ne se démonta pas. Elle songea un court instant a lui tanner le cuir, histoire qu'il apprenne le respect.

-Donne moi 200 mistrels et je te guiderai jusqu'à la ville.

-Et si je te donnais plutôt un coup de ça? lui montrant sa botte.

Le garçon s'éloigna un peu de la renaissante, arretant de rire.
Elle réfléchit un instant, se ravisa, sortit un sachet et pris un air mystérieux...

-Nous pouvons peut-être faire un arrangement petit.
J'ai là de quoi satisfaire ta demande, mais si tu revoyais ton tarif?
Tu me sers de guide et tu as le contenu de ce sachet...alors?

Il la regarda indécis.- Et qu'est-ce qu'il y a exactement là dedans, dit-il en montrant le sachet du doigt.
- Une surprise mon grand, tu ne le sauras que si tu accomplis ton travail.

Il hésita longuement, elle se dit qu'il allait refuser, mais il accepta.

Bon, allons-y ! Tu as su piquer au vif ma curiosité

Elle se dit qu'il paraissait bien sérieux d'un coup, il avait moins la gouaille. Quelle surprise pouvait bien lui réserver cette nouvelle attitude?
Peut importait, elle avait un guide à présent.

"Eh bien, en route!" dit-elle. Et ils partirent en direction du Sud

Les deux personnages marchaient à présent ensemble..le petit garçon ne savait pas encore si il faisait là une bonne affaire..
Cette femme était vraiment étrange... mais qu'elle était belle!
Elle lui rappelait cette jeune fille qu'il avait cotoyer il y a quelque mois et dont il était éperdument amoureux. C'était cela qui l'avait poussé à la guider, bien plus que le fameux sachet!

"Au fait", lui demanda-t-elle, "pourquoi m'as tu tiré dessus tout à l'heure ?
-C'est une tradition chez nous, on tire sur tous ce qui bouge...

"tout à fait charmant" bougonna-t-elle. "Et as-tu tenté de me toucher ou as-tu fait exprès de me rater?"

Le petit garçon hésita quelque seconde avant de répondre...
"Heu je vous ai volontairement ratée..."

"ah oui bien sûr..." dit-elle. "Au fait, quel est ton nom et d'où viens-tu??"

"je m'appelle Mimi-Siku ça veux dire pipi de chat. Et toi ?"

"Mimi-siku? en voilà un drôle de nom!..moi c'est Ségolène..., ça signifie Victoire et tu sauras que je porte bien mon nom!"

"Ha ué et pourquoi sa?"

"Tout simplement parce-que je n'ai encore perdu aucun de mes combats, et ce n'est pas faute d'en avoir eu!!"

"Quel sera votre prochain combat?"

"Je l'ignore, ce sera avant longtemps j'espère! j'aimerai pouvoir me reposer..."

"Ah ben vous êtes pas une vrai guerrière alors" l'insolence du petit garçon avait repris de plus belle "Parce que moi mon papounet eh ben il dit que y a que les hommes qui sont des guerriers et que ils font toujours la guerre même si ils sont en train de mourrir. "Alors vous êtes une vraie guerrière ou pas?"

"hmmm, et bien, selon les critères de ton 'papounet', à l'évidence je ne suis pas une vraie guerrière, puisque je ne suis pas un homme. ensuite, selon les critères de mes ennemis (paix à leurs âmes), et bien, je pense que l'on peut répondre par l'affirmative!"

"pff facile de dire ça ! t'as des preuves que t'a tué des gens parce que moi mon papounet il a des squalps de toutes ses victimes !"

Son 'papounet' commençait à lui courir sur le haricot. Elle se courba pour être à la hauteur de l'enfant et le regarda avec un sourire qui se voulait sadique.

"tu voudrais bien que je te les montres ?"

l'enfant se recula, apeuré par le visage de la jeune femme, puis se reprenant, se disant que rien ne lui faisait peur, il rétorqua :

"vous êtes une fille, vous pouvez pas faire la guerre donc !!
les filles font pas la guerre, sinon mamounette la ferait!!"

il éclata de rire en pensant a sa mère faisant la guerre, il s'arrêta net et regarda la femme :

"pffffffff, et meme si vous avez des scalps, vous avez du les voler à un homme, je suis sur !!!"

L'envie de lui botter le train se faisait plus pressante mais ne
voulant point perdre son guide, elle se ravisa et lui dit :

- Je ne suis point ta mamounette et je ne collectionne pas de trophés
car il prendrai trop de place.
sommes-nous encore loin de ton village?

Il était une fois une femme qui chevauchait dans la plaine.
Le temps était magnifique, seule une légère brise faisait voler ses cheveux.
Au loin, quelques ruminants, affalés sur l'herbe, laissaient le temps défiler.
La plaine s'étendait à perte de vue, nul ne savait où elle se terminait.

Une flèche fendit l'air et vint se figer à quelques pas de la cavalière. Son cheval se cabra de surprise, mais la cavalière savait tenir sur sa monture. La bête calmée elle cherchait a savoir d'ou venait la fleche et pourquoi.
Elle aperçut au loin une forme étrange et la héla.

-Hey toi là bas! Fais donc attention!

Elle n'obtint aucune réponse, piquée au vif, elle décida de s'approcher prudemment.
Un garçon d'une quinzaine d'années lui fait face et lui dit :

-S'cuzez m'dam, j'pa fé expré!

-Et bien aprend a faire mieux, tu peux m'indiquer la ville la plus proche?

-C'est Zlima, avec un "z", comme... Zlima ! T'es qui toi ?

-Moi? je suis perdue, je cherche un endroit où me restaurer.

-Bonjour Perdu; c'est un drôle de nom! dit le gamin en éclatant de rire.

Elle le toisa d'un regard noir, mais le garçon ne se démonta pas. Elle songea un court instant a lui tanner le cuir, histoire qu'il apprenne le respect.

-Donne moi 200 mistrels et je te guiderai jusqu'à la ville.

-Et si je te donnais plutôt un coup de ça? lui montrant sa botte.

Le garçon s'éloigna un peu de la renaissante, arretant de rire.
Elle réfléchit un instant, se ravisa, sortit un sachet et pris un air mystérieux...

-Nous pouvons peut-être faire un arrangement petit.
J'ai là de quoi satisfaire ta demande, mais si tu revoyais ton tarif?
Tu me sers de guide et tu as le contenu de ce sachet...alors?

Il la regarda indécis.- Et qu'est-ce qu'il y a exactement là dedans, dit-il en montrant le sachet du doigt.
- Une surprise mon grand, tu ne le sauras que si tu accomplis ton travail.

Il hésita longuement, elle se dit qu'il allait refuser, mais il accepta.

Bon, allons-y ! Tu as su piquer au vif ma curiosité

Elle se dit qu'il paraissait bien sérieux d'un coup, il avait moins la gouaille. Quelle surprise pouvait bien lui réserver cette nouvelle attitude?
Peut importait, elle avait un guide à présent.

"Eh bien, en route!" dit-elle. Et ils partirent en direction du Sud

Les deux personnages marchaient à présent ensemble..le petit garçon ne savait pas encore si il faisait là une bonne affaire..
Cette femme était vraiment étrange... mais qu'elle était belle!
Elle lui rappelait cette jeune fille qu'il avait cotoyer il y a quelque mois et dont il était éperdument amoureux. C'était cela qui l'avait poussé à la guider, bien plus que le fameux sachet!

"Au fait", lui demanda-t-elle, "pourquoi m'as tu tiré dessus tout à l'heure ?
-C'est une tradition chez nous, on tire sur tous ce qui bouge...

"tout à fait charmant" bougonna-t-elle. "Et as-tu tenté de me toucher ou as-tu fait exprès de me rater?"

Le petit garçon hésita quelque seconde avant de répondre...
"Heu je vous ai volontairement ratée..."

"ah oui bien sûr..." dit-elle. "Au fait, quel est ton nom et d'où viens-tu??"

"je m'appelle Mimi-Siku ça veux dire pipi de chat. Et toi ?"

"Mimi-siku? en voilà un drôle de nom!..moi c'est Ségolène..., ça signifie Victoire et tu sauras que je porte bien mon nom!"

"Ha ué et pourquoi sa?"

"Tout simplement parce-que je n'ai encore perdu aucun de mes combats, et ce n'est pas faute d'en avoir eu!!"

"Quel sera votre prochain combat?"

"Je l'ignore, ce sera avant longtemps j'espère! j'aimerai pouvoir me reposer..."

"Ah ben vous êtes pas une vrai guerrière alors" l'insolence du petit garçon avait repris de plus belle "Parce que moi mon papounet eh ben il dit que y a que les hommes qui sont des guerriers et que ils font toujours la guerre même si ils sont en train de mourrir. "Alors vous êtes une vraie guerrière ou pas?"

"hmmm, et bien, selon les critères de ton 'papounet', à l'évidence je ne suis pas une vraie guerrière, puisque je ne suis pas un homme. ensuite, selon les critères de mes ennemis (paix à leurs âmes), et bien, je pense que l'on peut répondre par l'affirmative!"

"pff facile de dire ça ! t'as des preuves que t'a tué des gens parce que moi mon papounet il a des squalps de toutes ses victimes !"

Son 'papounet' commençait à lui courir sur le haricot. Elle se courba pour être à la hauteur de l'enfant et le regarda avec un sourire qui se voulait sadique.

"tu voudrais bien que je te les montres ?"

l'enfant se recula, apeuré par le visage de la jeune femme, puis se reprenant, se disant que rien ne lui faisait peur, il rétorqua :

"vous êtes une fille, vous pouvez pas faire la guerre donc !!
les filles font pas la guerre, sinon mamounette la ferait!!"

il éclata de rire en pensant a sa mère faisant la guerre, il s'arrêta net et regarda la femme :

"pffffffff, et meme si vous avez des scalps, vous avez du les voler à un homme, je suis sur !!!"

L'envie de lui botter le train se faisait plus pressante mais ne
voulant point perdre son guide, elle se ravisa et lui dit :

- Je ne suis point ta mamounette et je ne collectionne pas de trophés
car il prendrai trop de place.
sommes-nous encore loin de ton village?

pouffant de rire, le petit garcon la railla de plus belle :

"j'en etais sur z'etes meme pas une guerriere"

Voyant l'air mauvais que prenait la femme, il tourna la tete en lui designant l'horizon :

"on est plus tres loin maintenant"

Il était une fois une femme qui chevauchait dans la plaine.
Le temps était magnifique, seule une légère brise faisait voler ses cheveux.
Au loin, quelques ruminants, affalés sur l'herbe, laissaient le temps défiler.
La plaine s'étendait à perte de vue, nul ne savait où elle se terminait.

Une flèche fendit l'air et vint se figer à quelques pas de la cavalière. Son cheval se cabra de surprise, mais la cavalière savait tenir sur sa monture. La bête calmée elle cherchait a savoir d'ou venait la fleche et pourquoi.
Elle aperçut au loin une forme étrange et la héla.

-Hey toi là bas! Fais donc attention!

Elle n'obtint aucune réponse, piquée au vif, elle décida de s'approcher prudemment.
Un garçon d'une quinzaine d'années lui fait face et lui dit :

-S'cuzez m'dam, j'pa fé expré!

-Et bien aprend a faire mieux, tu peux m'indiquer la ville la plus proche?

-C'est Zlima, avec un "z", comme... Zlima ! T'es qui toi ?

-Moi? je suis perdue, je cherche un endroit où me restaurer.

-Bonjour Perdu; c'est un drôle de nom! dit le gamin en éclatant de rire.

Elle le toisa d'un regard noir, mais le garçon ne se démonta pas. Elle songea un court instant a lui tanner le cuir, histoire qu'il apprenne le respect.

-Donne moi 200 mistrels et je te guiderai jusqu'à la ville.

-Et si je te donnais plutôt un coup de ça? lui montrant sa botte.

Le garçon s'éloigna un peu de la renaissante, arretant de rire.
Elle réfléchit un instant, se ravisa, sortit un sachet et pris un air mystérieux...

-Nous pouvons peut-être faire un arrangement petit.
J'ai là de quoi satisfaire ta demande, mais si tu revoyais ton tarif?
Tu me sers de guide et tu as le contenu de ce sachet...alors?

Il la regarda indécis.- Et qu'est-ce qu'il y a exactement là dedans, dit-il en montrant le sachet du doigt.
- Une surprise mon grand, tu ne le sauras que si tu accomplis ton travail.

Il hésita longuement, elle se dit qu'il allait refuser, mais il accepta.

Bon, allons-y ! Tu as su piquer au vif ma curiosité

Elle se dit qu'il paraissait bien sérieux d'un coup, il avait moins la gouaille. Quelle surprise pouvait bien lui réserver cette nouvelle attitude?
Peut importait, elle avait un guide à présent.

"Eh bien, en route!" dit-elle. Et ils partirent en direction du Sud

Les deux personnages marchaient à présent ensemble..le petit garçon ne savait pas encore si il faisait là une bonne affaire..
Cette femme était vraiment étrange... mais qu'elle était belle!
Elle lui rappelait cette jeune fille qu'il avait cotoyer il y a quelque mois et dont il était éperdument amoureux. C'était cela qui l'avait poussé à la guider, bien plus que le fameux sachet!

"Au fait", lui demanda-t-elle, "pourquoi m'as tu tiré dessus tout à l'heure ?
-C'est une tradition chez nous, on tire sur tous ce qui bouge...

"tout à fait charmant" bougonna-t-elle. "Et as-tu tenté de me toucher ou as-tu fait exprès de me rater?"

Le petit garçon hésita quelque seconde avant de répondre...
"Heu je vous ai volontairement ratée..."

"ah oui bien sûr..." dit-elle. "Au fait, quel est ton nom et d'où viens-tu??"

"je m'appelle Mimi-Siku ça veux dire pipi de chat. Et toi ?"

"Mimi-siku? en voilà un drôle de nom!..moi c'est Ségolène..., ça signifie Victoire et tu sauras que je porte bien mon nom!"

"Ha ué et pourquoi sa?"

"Tout simplement parce-que je n'ai encore perdu aucun de mes combats, et ce n'est pas faute d'en avoir eu!!"

"Quel sera votre prochain combat?"

"Je l'ignore, ce sera avant longtemps j'espère! j'aimerai pouvoir me reposer..."

"Ah ben vous êtes pas une vrai guerrière alors" l'insolence du petit garçon avait repris de plus belle "Parce que moi mon papounet eh ben il dit que y a que les hommes qui sont des guerriers et que ils font toujours la guerre même si ils sont en train de mourrir. "Alors vous êtes une vraie guerrière ou pas?"

"hmmm, et bien, selon les critères de ton 'papounet', à l'évidence je ne suis pas une vraie guerrière, puisque je ne suis pas un homme. ensuite, selon les critères de mes ennemis (paix à leurs âmes), et bien, je pense que l'on peut répondre par l'affirmative!"

"pff facile de dire ça ! t'as des preuves que t'a tué des gens parce que moi mon papounet il a des squalps de toutes ses victimes !"

Son 'papounet' commençait à lui courir sur le haricot. Elle se courba pour être à la hauteur de l'enfant et le regarda avec un sourire qui se voulait sadique.

"tu voudrais bien que je te les montres ?"

l'enfant se recula, apeuré par le visage de la jeune femme, puis se reprenant, se disant que rien ne lui faisait peur, il rétorqua :

"vous êtes une fille, vous pouvez pas faire la guerre donc !!
les filles font pas la guerre, sinon mamounette la ferait!!"

il éclata de rire en pensant a sa mère faisant la guerre, il s'arrêta net et regarda la femme :

"pffffffff, et meme si vous avez des scalps, vous avez du les voler à un homme, je suis sur !!!"

L'envie de lui botter le train se faisait plus pressante mais ne
voulant point perdre son guide, elle se ravisa et lui dit :

- Je ne suis point ta mamounette et je ne collectionne pas de trophés
car il prendrai trop de place.
sommes-nous encore loin de ton village?

pouffant de rire, le petit garcon la railla de plus belle :

"j'en etais sur z'etes meme pas une guerriere"

Voyant l'air mauvais que prenait la femme, il tourna la tete en lui designant l'horizon :

"on est plus tres loin maintenant"

Plissant les yeux, elle commença à apercevoir la fumée sortant des cheminées des chaumières bordant Zlima. De loin, la ville semblait paisible... un peu trop peut-être...

Il était une fois une femme qui chevauchait dans la plaine.
Le temps était magnifique, seule une légère brise faisait voler ses cheveux.
Au loin, quelques ruminants, affalés sur l'herbe, laissaient le temps défiler.
La plaine s'étendait à perte de vue, nul ne savait où elle se terminait.

Une flèche fendit l'air et vint se figer à quelques pas de la cavalière. Son cheval se cabra de surprise, mais la cavalière savait tenir sur sa monture. La bête calmée elle cherchait a savoir d'ou venait la fleche et pourquoi.
Elle aperçut au loin une forme étrange et la héla.

-Hey toi là bas! Fais donc attention!

Elle n'obtint aucune réponse, piquée au vif, elle décida de s'approcher prudemment.
Un garçon d'une quinzaine d'années lui fait face et lui dit :

-S'cuzez m'dam, j'pa fé expré!

-Et bien aprend a faire mieux, tu peux m'indiquer la ville la plus proche?

-C'est Zlima, avec un "z", comme... Zlima ! T'es qui toi ?

-Moi? je suis perdue, je cherche un endroit où me restaurer.

-Bonjour Perdu; c'est un drôle de nom! dit le gamin en éclatant de rire.

Elle le toisa d'un regard noir, mais le garçon ne se démonta pas. Elle songea un court instant a lui tanner le cuir, histoire qu'il apprenne le respect.

-Donne moi 200 mistrels et je te guiderai jusqu'à la ville.

-Et si je te donnais plutôt un coup de ça? lui montrant sa botte.

Le garçon s'éloigna un peu de la renaissante, arretant de rire.
Elle réfléchit un instant, se ravisa, sortit un sachet et pris un air mystérieux...

-Nous pouvons peut-être faire un arrangement petit.
J'ai là de quoi satisfaire ta demande, mais si tu revoyais ton tarif?
Tu me sers de guide et tu as le contenu de ce sachet...alors?

Il la regarda indécis.- Et qu'est-ce qu'il y a exactement là dedans, dit-il en montrant le sachet du doigt.
- Une surprise mon grand, tu ne le sauras que si tu accomplis ton travail.

Il hésita longuement, elle se dit qu'il allait refuser, mais il accepta.

Bon, allons-y ! Tu as su piquer au vif ma curiosité

Elle se dit qu'il paraissait bien sérieux d'un coup, il avait moins la gouaille. Quelle surprise pouvait bien lui réserver cette nouvelle attitude?
Peut importait, elle avait un guide à présent.

"Eh bien, en route!" dit-elle. Et ils partirent en direction du Sud

Les deux personnages marchaient à présent ensemble..le petit garçon ne savait pas encore si il faisait là une bonne affaire..
Cette femme était vraiment étrange... mais qu'elle était belle!
Elle lui rappelait cette jeune fille qu'il avait cotoyer il y a quelque mois et dont il était éperdument amoureux. C'était cela qui l'avait poussé à la guider, bien plus que le fameux sachet!

"Au fait", lui demanda-t-elle, "pourquoi m'as tu tiré dessus tout à l'heure ?
-C'est une tradition chez nous, on tire sur tous ce qui bouge...

"tout à fait charmant" bougonna-t-elle. "Et as-tu tenté de me toucher ou as-tu fait exprès de me rater?"

Le petit garçon hésita quelque seconde avant de répondre...
"Heu je vous ai volontairement ratée..."

"ah oui bien sûr..." dit-elle. "Au fait, quel est ton nom et d'où viens-tu??"

"je m'appelle Mimi-Siku ça veux dire pipi de chat. Et toi ?"

"Mimi-siku? en voilà un drôle de nom!..moi c'est Ségolène..., ça signifie Victoire et tu sauras que je porte bien mon nom!"

"Ha ué et pourquoi sa?"

"Tout simplement parce-que je n'ai encore perdu aucun de mes combats, et ce n'est pas faute d'en avoir eu!!"

"Quel sera votre prochain combat?"

"Je l'ignore, ce sera avant longtemps j'espère! j'aimerai pouvoir me reposer..."

"Ah ben vous êtes pas une vrai guerrière alors" l'insolence du petit garçon avait repris de plus belle "Parce que moi mon papounet eh ben il dit que y a que les hommes qui sont des guerriers et que ils font toujours la guerre même si ils sont en train de mourrir. "Alors vous êtes une vraie guerrière ou pas?"

"hmmm, et bien, selon les critères de ton 'papounet', à l'évidence je ne suis pas une vraie guerrière, puisque je ne suis pas un homme. ensuite, selon les critères de mes ennemis (paix à leurs âmes), et bien, je pense que l'on peut répondre par l'affirmative!"

"pff facile de dire ça ! t'as des preuves que t'a tué des gens parce que moi mon papounet il a des squalps de toutes ses victimes !"

Son 'papounet' commençait à lui courir sur le haricot. Elle se courba pour être à la hauteur de l'enfant et le regarda avec un sourire qui se voulait sadique.

"tu voudrais bien que je te les montres ?"

l'enfant se recula, apeuré par le visage de la jeune femme, puis se reprenant, se disant que rien ne lui faisait peur, il rétorqua :

"vous êtes une fille, vous pouvez pas faire la guerre donc !!
les filles font pas la guerre, sinon mamounette la ferait!!"

il éclata de rire en pensant a sa mère faisant la guerre, il s'arrêta net et regarda la femme :

"pffffffff, et meme si vous avez des scalps, vous avez du les voler à un homme, je suis sur !!!"

L'envie de lui botter le train se faisait plus pressante mais ne
voulant point perdre son guide, elle se ravisa et lui dit :

- Je ne suis point ta mamounette et je ne collectionne pas de trophés
car il prendrai trop de place.
sommes-nous encore loin de ton village?

pouffant de rire, le petit garcon la railla de plus belle :

"j'en etais sur z'etes meme pas une guerriere"

Voyant l'air mauvais que prenait la femme, il tourna la tete en lui designant l'horizon :

"on est plus tres loin maintenant"

Plissant les yeux, elle commença à apercevoir la fumée sortant des cheminées des chaumières bordant Zlima. De loin, la ville semblait paisible... un peu trop peut-être...

Le ciel s'assombri subitement.Les oiseaux cesserent de chanter et se cachèrent.Une brise glaciale se leva.....

Il était une fois une femme qui chevauchait dans la plaine.
Le temps était magnifique, seule une légère brise faisait voler ses cheveux.
Au loin, quelques ruminants, affalés sur l'herbe, laissaient le temps défiler.
La plaine s'étendait à perte de vue, nul ne savait où elle se terminait.

Une flèche fendit l'air et vint se figer à quelques pas de la cavalière. Son cheval se cabra de surprise, mais la cavalière savait tenir sur sa monture. La bête calmée elle cherchait a savoir d'ou venait la fleche et pourquoi.
Elle aperçut au loin une forme étrange et la héla.

-Hey toi là bas! Fais donc attention!

Elle n'obtint aucune réponse, piquée au vif, elle décida de s'approcher prudemment.
Un garçon d'une quinzaine d'années lui fait face et lui dit :

-S'cuzez m'dam, j'pa fé expré!

-Et bien aprend a faire mieux, tu peux m'indiquer la ville la plus proche?

-C'est Zlima, avec un "z", comme... Zlima ! T'es qui toi ?

-Moi? je suis perdue, je cherche un endroit où me restaurer.

-Bonjour Perdu; c'est un drôle de nom! dit le gamin en éclatant de rire.

Elle le toisa d'un regard noir, mais le garçon ne se démonta pas. Elle songea un court instant a lui tanner le cuir, histoire qu'il apprenne le respect.

-Donne moi 200 mistrels et je te guiderai jusqu'à la ville.

-Et si je te donnais plutôt un coup de ça? lui montrant sa botte.

Le garçon s'éloigna un peu de la renaissante, arretant de rire.
Elle réfléchit un instant, se ravisa, sortit un sachet et pris un air mystérieux...

-Nous pouvons peut-être faire un arrangement petit.
J'ai là de quoi satisfaire ta demande, mais si tu revoyais ton tarif?
Tu me sers de guide et tu as le contenu de ce sachet...alors?

Il la regarda indécis.- Et qu'est-ce qu'il y a exactement là dedans, dit-il en montrant le sachet du doigt.
- Une surprise mon grand, tu ne le sauras que si tu accomplis ton travail.

Il hésita longuement, elle se dit qu'il allait refuser, mais il accepta.

Bon, allons-y ! Tu as su piquer au vif ma curiosité

Elle se dit qu'il paraissait bien sérieux d'un coup, il avait moins la gouaille. Quelle surprise pouvait bien lui réserver cette nouvelle attitude?
Peut importait, elle avait un guide à présent.

"Eh bien, en route!" dit-elle. Et ils partirent en direction du Sud

Les deux personnages marchaient à présent ensemble..le petit garçon ne savait pas encore si il faisait là une bonne affaire..
Cette femme était vraiment étrange... mais qu'elle était belle!
Elle lui rappelait cette jeune fille qu'il avait cotoyer il y a quelque mois et dont il était éperdument amoureux. C'était cela qui l'avait poussé à la guider, bien plus que le fameux sachet!

"Au fait", lui demanda-t-elle, "pourquoi m'as tu tiré dessus tout à l'heure ?
-C'est une tradition chez nous, on tire sur tous ce qui bouge...

"tout à fait charmant" bougonna-t-elle. "Et as-tu tenté de me toucher ou as-tu fait exprès de me rater?"

Le petit garçon hésita quelque seconde avant de répondre...
"Heu je vous ai volontairement ratée..."

"ah oui bien sûr..." dit-elle. "Au fait, quel est ton nom et d'où viens-tu??"

"je m'appelle Mimi-Siku ça veux dire pipi de chat. Et toi ?"

"Mimi-siku? en voilà un drôle de nom!..moi c'est Ségolène..., ça signifie Victoire et tu sauras que je porte bien mon nom!"

"Ha ué et pourquoi sa?"

"Tout simplement parce-que je n'ai encore perdu aucun de mes combats, et ce n'est pas faute d'en avoir eu!!"

"Quel sera votre prochain combat?"

"Je l'ignore, ce sera avant longtemps j'espère! j'aimerai pouvoir me reposer..."

"Ah ben vous êtes pas une vrai guerrière alors" l'insolence du petit garçon avait repris de plus belle "Parce que moi mon papounet eh ben il dit que y a que les hommes qui sont des guerriers et que ils font toujours la guerre même si ils sont en train de mourrir. "Alors vous êtes une vraie guerrière ou pas?"

"hmmm, et bien, selon les critères de ton 'papounet', à l'évidence je ne suis pas une vraie guerrière, puisque je ne suis pas un homme. ensuite, selon les critères de mes ennemis (paix à leurs âmes), et bien, je pense que l'on peut répondre par l'affirmative!"

"pff facile de dire ça ! t'as des preuves que t'a tué des gens parce que moi mon papounet il a des squalps de toutes ses victimes !"

Son 'papounet' commençait à lui courir sur le haricot. Elle se courba pour être à la hauteur de l'enfant et le regarda avec un sourire qui se voulait sadique.

"tu voudrais bien que je te les montres ?"

l'enfant se recula, apeuré par le visage de la jeune femme, puis se reprenant, se disant que rien ne lui faisait peur, il rétorqua :

"vous êtes une fille, vous pouvez pas faire la guerre donc !!
les filles font pas la guerre, sinon mamounette la ferait!!"

il éclata de rire en pensant a sa mère faisant la guerre, il s'arrêta net et regarda la femme :

"pffffffff, et meme si vous avez des scalps, vous avez du les voler à un homme, je suis sur !!!"

L'envie de lui botter le train se faisait plus pressante mais ne
voulant point perdre son guide, elle se ravisa et lui dit :

- Je ne suis point ta mamounette et je ne collectionne pas de trophés
car il prendrai trop de place.
sommes-nous encore loin de ton village?

pouffant de rire, le petit garcon la railla de plus belle :

"j'en etais sur z'etes meme pas une guerriere"

Voyant l'air mauvais que prenait la femme, il tourna la tete en lui designant l'horizon :

"on est plus tres loin maintenant"

Plissant les yeux, elle commença à apercevoir la fumée sortant des cheminées des chaumières bordant Zlima. De loin, la ville semblait paisible... un peu trop peut-être...

Le ciel s'assombri subitement.Les oiseaux cesserent de chanter et se cachèrent.Une brise glaciale se leva.....

tout en regrettant d'avoir enfouie sa cape au fin fond de l'une des sacoches harnachée à sa monture, Ségolène déplaça imperceptiblement sa main en direction de l'épée qui ne la quittait jamais

Ca ne vous dit pas de clore celle là et d'en commencer une nouvelle un de ces jours ?
C'est qu'elle commence a etre plus que longue celle la

chiche