le fossoyeur - inquis

Au bout de quelques jours de marche, un inquisiteur nommé du nom de fossoyeur arriva enfin sur les terres des ombres. Il était encore dans un sous bois qu'un petit écureuil tenait en effet un panneau de signalisation "les ombres c'est par là!"
Il s'activa alors le fessier, pressé d'arriver enfin et d'être si proche de ce nouveau royaume..
Son sentiment restait cependant peu rassuré, car il était déjà allé voir les renaissants auparavant, et une peau de banane qu'il venait de manger l'avait fait se vautrer..
Ce n'était donc pas un verre ni une femme qui allait le mettre à l'aise à l'auberge, mais un petit bout de RP !

"Bonjour à vous les Ombres!!
"Puis-je me joindre à vous sur quelques notes douces de RP parmis vos beaux jardins? ou préférez-vous une version à tendance meurtrière ?"

Elle s'approcha dicrètement du nouvel arrivant, comme à son habitude. Elle était étonnée qu'aucun de ses alliés ne l'eut déjà accueilli. Sans doute n'avaient-ils pas vu que la Confrérie avait un visiteur.

Des mois de service à l'auberge lui ayant appris à surmonter sa timidité, lorsqu'elle fut à la hauteur du Seigneur, elle prit la parole spontanément.

Bonjour mon Seigneur, bienvenue à la Confrérie.
Vous nous faites une visite de courtoisie ?

Elle sourit aux derniers propos du Seigneur, se rappelant qu'elle avait émis le désir de se lancer dans le jardinage suite à des modifications de loi prévus en AfterEnd.

Nous n'avons pas de jardins.
Pas encore.
Mais je verrais bien quelques plants de tomates et de laitues, bordés de fleurs diverses et colorées juste là, tout autour du mat des pendus.
Des rosiers serait aussi du plus bel effet sous cette fenêtre.

Elle pointa un groupe de bâtiments du doigt
J'ai également pensé à transformer les remises à canons en serres.

Vous en pensez quoi ?
Vous vous y connaissez ?

Elle lui pris le bras et l'entraîna visiter les environs lui exposant ses divers projets de cultures et d'embellissement de leurs terres, se retenant d'éclater de rire en imaginant la tête de ses alliés lorsqu'ils la verraient parler jardinage plutôt que contrat.

Croisant Thranduil qui avait l'air surpris, je lui demande :

-qu'est ce qu'il ne va pas?

Il se contentait d'un geste de la main, et je reconnu Dame Mirelen et un homme que j'avais déja croiser sur le royaume des renaissants.
Thranduil repris alors son chemin, tandis que je me dirige vers eux.

-Bonjour Dame Mirelen, salut le fossoyeur,
-Qu'est ce que tu fais ici, tu t'es encore paumé ou tu recherche toujours l'amour?

Et me mets à rire.

Sourtant de l'ombre d,un grand arbre argawaen fit quelque pas lent en direction du visiteur et de dame mirelen. Le vent avait porter a ses oreilles les fugaces discution de ses derniers. Arriver a proximité d'eux...

Dame mirelen qu'est-ce que j'entend ? Des choux, des fleures... Vous feriez mieux de penser a cultiver votre art de la guerre. Voila au moin une valeur sur qu'on ne peux écrasser d'un simple pas.

De plus croyez vous réellement faire pousser de tel chose sur des terres comme les n'autres?

Il se tourna vers l'inconnu avec un haussement d'épaule qui voulait dire, a les femmes....

Peut-on savoir quel est l'objet de votre visite?

Sa main jouait toujours sur la garde de son épé.

Il partit joyeusement avec dame Mirelen, heureux d'avoir une visite des lieux si ouverte et agréable. L'odeur des rares fleurs allentours, bien qu'écrasées régulièrement par ses congénères, laissaient sentir une profonde douceur qui contrastait avec l'ambiance forte, droite et sans pitité que donnait ce royaume au premier abord.

Dame mirelen, que d'idées, rendre une partie de ce royaume à la nature me parait juste et beau, et cela pourrait donnerait un côté sauvage qui plairait surement à vos frères d'armes, et cela leur permettrait de se ressourcer.
Ce serait un honneur de commencer par vous enseigner le bouturage madame.

L'architecture plaisait à cet homme qui tombait en même temps sous le charme de toute la délicatesse de dame mirelen qui lui partagait ses rêves d'amménagement.
Il vit soudain un choux écrasé !
Un homme s'était dressé devant lui.

Le fossoyeur, surpris, mis instinctivement la main près de son fourreau.

Seigneur, l'objet de ma visite?
Depuis que nous avons rassemblés suffisament de survivants, notre peuple ne cesse de se demander ce qui l'entoure.
Nous sommes aussi persuadés que parmi les autres citoyens de ce bas monde, nous trouverons des âmes dignes et franches.
S'il le faut, nous parcourerons le monde jusqu'à n'en plus pouvoir.

Le jaugent de la tête au pied, argawaen écouta poliment son discourt. Il n'arrivait pas a ce décidé.

Est-ce que c'était la le discourt d,un politicien, d'un diplomate ou bien d,un idéaliste? Il avait la première race en horreur, la seconde s'en accomodait assez bien du au guerre ils étaient bien nécessaire. Pour la troisième elle le laissait indiférent, il avait depuis fort longtemps déja perdu tout idéal dans la vie.

Ce rendant compte que l'homme attendait toutjours...

Veuillez m'excusez, je ne me suis meme pas présente. Ici on m'appel Argawaen.

Dit-il tout simplement.

Si j'en crois vos paroles, vous ne venez donc ici, n'y pour affaire n'y pour vous battres?

Il relacha doucement la garde de son épée.

Dans ce cas je ne vous importunerais pas d'avantage. Je vois d'ailleurs que vous êtes en charmante compagnie.

Il se demanda intérieurement, ce que dirait baldrik a voir c'est deux la ensemble....

Mais prennez tout de même garde, les serviteur du gouvernemetn ne viennent plus jusqu'ici. Ce qui fait que malgrer nos partrouille régulière certaine route peuvent ne pas être aussi sécuritaire quand cité neutre.

Il fit un geste de la main et s'écarta de leur passage.

Je vous souhaite donc un agréable séjour en terre des ombres.

Se disant qu'il faudrait mieux s'assurer que l'homme soit suivit discretement... Prudence étant mere de sureté...

Merci Argawaen, vos paroles me mettent à l'aise parmi vous.
Le portail avec les têtes de trépassés prennent maintenant pour moi du goût et je saurais aborder paisiblement vos patrouilles avec Dame Mirelen.

Le sentiment d'insécurité restait tout de même dans la pensée du fossoyeur, mais cela lui plaisait assez apparemment.
Il continua donc de faire le tour des immenses jardins de la guerre, et demanda souriant à Mirelen:

Dame, votre popularité est étonnante!
C'est le moment de faire passer la loi bouture !!!