La Formation

Elle se promenait d’un pas lent sur le sol de bois vernis de la salle, examinant une par une les différentes vitrines qui s’y trouvaient. Dans chacune on pouvait apercevoir tantôt une arme, tantôt une protection, même parfois de vieux parchemins, vieilles ententes ou même de vieux contrats, qui contribuèrent à rendre la Confrérie célèbre.
Quelques épées ou sabres étaient tout simplement posés sur des supports ornant les murs.
Le tapis légèrement rembourré au centre de la pièce, ainsi que divers appareils destinés à des exercices divers, annonçaient même aux non-initiés qu’il s’agissait là d’une salle d’entraînement.

Sous chacune des vitrines se trouvait une légende, expliquant de quel objet il s’agissait et son importance.
Elle ne les lisait que distraitement, son esprit étant occupé ailleurs.
Jusqu’à présent elle répugnait à se déplacer armée, le sabre lui pesait à la hanche et la gênait dans ses déplacements.
Argawaen avait fini par la prendre à part et lui avait annoncé qu’il était temps de prendre son entraînement en charge, afin de faire d’elle une mercenaire à part entière. Qu’elle devait apprendre à se battre et à se défendre afin de respecter son engagement obligé.

Elle attendait, nerveuse et angoissée, celui que le chef des mercenaires devait lui envoyer.

édit : na mais je me suis fait rouler la lol.... tu ma devancer j'étais trop lent Razz

bouge pas on arrive Wink

Edit: Oh! C'est quoi ces annotations jaunes dans mon post !?
Tu sais ce qu'on dit ? Derrière tout grand homme, y a une femme. Mais ce qu'on sait pas, c'est qu'elles sont là pour les pousser un peu.

Baldrik arriva près de la salle.

Il vit Mirelen qui se tenait déjà la.Elle paraissait angoissée et nerveuse.

Elle ne l avait même pas remarqué.

Comment changer un ange en arme de destruction selon la volonté de notre chef.

J espere ne pas y parvenir et seulement lui apprendre à se defendre puisse lui suffir.

Il toussota pour que la dame le remarque.

Bonjour Dame Mirelen.

Je vois que vous êtes impatiente de vous entrainer.

Je suis la pour vous apprendre le commbat au corps a corps.

Il s approcha doucement d elle.

N ayez crainte je ne suis pas un barbare et on ira doucement pour que vous assimiliez plus facilement.
lui mumura t il

Un toussottement la fit se retourner brusquement pour se retrouver face au Seigneur Baldrik.
Elle lui rendit poliment ses salutations, légèrement intimidée par la présence du renaissant.

Lorsqu'il lui annonca qu'il serait son professeur pour le combat en corps à corps, le saugrenue de la situation lui sauta au visage.
Dans son pantalon emprunté, trop grand pour elle et maintenue en place par un large bandeau de soie, elle paraissait encore plus menue devant l'imposante stature du guerrier. Cela l'intimida d'avantage.

Lorsqu'il lui murmura qu'il procéderait avec douceur, un long frisson la parcourut. Comment serait-ce possible de combattre contre cet homme, déjà qu'elle ignorait tout dans l'art des combats, si en plus on y ajoutait les derniers événements, jamais elle n'arriverait à lui tenir tête.

Elle finit pas lui demander, la voix légèrement déformée par la nervosité et la tête obstinément baissée, les yeux rivés au sol, s'ils devaient commencer ces sessions d'entrainement immédiatement.

Baldrik voyait tout de suite que la dame était mal a l aise et ne connaissait rien en matiere de combat

Mais ne vous en faites pas dame Mirelen vos cours ne sont pas pour de suite avec moi.

Vous devez deja passer par mes freres d armes qui vont vous endurcir un peu .

Il contemplait dame Mirelen qui ne relever jamais la tête.

Pourquoi Argawaen veut a tout pris qu on transforme une déesse en mon,tre de guerre.N avait il pas assez avec ~~Kallyste~~( Non frappe pas j enleve lol) tous les barbares de la confrérie.

Je vous souhaite un bon apprentissage et revenais moi entiere de vos cours. rigola pour detendre la dame
Ou n abumez pas trop vos instructeurs.

Bon je vous quite je dois aller vérifier si mes terres se portent a merveilles.

Il allait partir quand il se retourna brusquement

Ah oui oui, au fait j ai hâte de vous faire cours je crois que je vais adoré cela.
Tout en pensant au parfum de Mirelen et de pouvoir carresser sa peau pendant l apprentissage

Tout distrait par ces pensées il se pris le porte en plein nez.

Qui a fermé cette porte? Jura t il

Il se mit a rougir et deguerpit en quatrième vitesse

Un léger soupire lui échappa, rassurée de ne pas avoir à faire face immédiatement au guerrier. Le genre de combat qu'il devait lui enseigner obligeait à une proximité qu'elle ne se sentait pas encore le courage d'affronter.

Il lui sembla que le seigneur tentait de détendre l'atmosphère en blaguant, et elle se forca à lui sourire, reconnaissante de cet effort.
Puis, sortant de la salle, il buta sur la porte close. Loin de la faire rire, elle s'inquiéta un moment sur si l'homme s'était fait mal, mais déjà il avait disparu.

Lorsqu'elle se retrouva de nouveau seule dans la salle, l'angoisse revint et elle se mit a arpenter la pièce, ne portant plus attention à rien, attendant, tout simplement.

Apres de longues semaines d entrainement passées avec argawaen au maniement de l épée , l heure était venue a Dame Mirelen d apprendre l art du combat au corps a corps.

Baldrik venait juste de passer dans la riviere pour enlever l odeur nauséabonde qui se dégagée apres plusieurs jours de guerre.

Il pénétra dans la salle d entrainement.
Se rapprochant d une chaise il ota son maillot et le posa dessus .

Il se dirigea vers le fond de la salle ou setrouvait un vieux sac , qui était rempli de sable, suspendu au plafond .

Il commença, seul, à frapper sur celui-ci d abord doucement et lentement.
Il pensait a Mirelen et a son devoir de la changer en guerriere.
Ordre du chef qui ne souhaite que la dame devienne une vraie ombre donc cela signifie qu elle doit devenir une guerriere assoiffée de sang.
Cela le metait mal a l aise.

Puis il intensifia ses coups il était de plus en plus fort et de plus en plus rapide.La pouesiiére jahissait du sac et les mains du seigneurs commençait a saigner

Elle entra dans la salle, sans bruit, toujours songeuse de la veille. Elle anticipait cette partie de son apprentissage avec angoisse.
Il y avait un moment qu'elle n'avait croisé le mercenaire, mais elle se souvenait fort bien de son mal aise lors de ces dernières rencontres, à l'auberge de la Confrérie.
C'était malgré elle, le Seigneur Baldrik la rendait confuse et nerveuse.

Elle entra lentement et d'un pas peu assuré, dans la salle d'entraînement et chercha des yeux d'où provenait les coups répétitifs qu'elle entendait. Ce n'est que lorsqu'elle fut au centre du tapis légèrement rembourré, destiné à l'entraînement, qu'elle vit enfin le renaissant, affairé à frapper sur l'un des sacs de sable dont disposait la salle. Il était concentré sur ses coups et elle pouvait voir de là où elle était, les mains rougies par un peu de sang ainsi que par le frottement des doigts sur le sac.

Elle avait troqué le pantalon et la chemise trop grands pour elle, pour une combinaison de couleur sombre qui lui permettait de se déplacer aisément. Elle s'était décidée la veille à se trouver une tenue adéquate, à sa taille.

Déjà, la nervosité la gagnait. Peu habituée à ce genre de tenue, révélant un peu trop sa silhouette à son goût, elle se sentait découverte aux regards. De plus, menue comme elle était, elle ne voyait pas du tout comment elle arriverait à se défendre contre un guerrier tel que lui. Elle doutait qu'Argawaen ai eu toute sa tête en désignant cette Ombre pour ce cours.

Sortant enfin de ses pensées, presque malgré elle, cherchant à éviter le regard du Mercenaire, elle baissa les yeux au sol et toussota afin d'annoncer son arrivée.

Bonjour Seigneur Baldrik.
Je.. je suis prête... Enfin je crois.

Toujours concentré sur ses frappes répétitives le seigneur ne se doutait pas que Mirelen était déja arrivée .

Elle toussota légèrement, puis s adressa au mercenaire.

Bonjour Seigneur Baldrik.
Je.. je suis prête... Enfin je crois.

Le seigneur stoppa le balancement du sac d une main .Il se dirigea vers le fond de la salle ou se trouvait une serviette pour eponger la sueur qui reconvrait sa figure et son corps.
Une fois seché il se retourna en entamant la conversation

Bonjour da...

Plus un son ne sorti, il resta immobile devant elle.Lui qui ne l avait jamais vu habillé ainsi.
Elle portait une combinaison tres sombre et tres pres du corps ce qui laissait entrevoir les formes de la dame.Il reprit ses esprits.

Bonjour dame Mirelen, je suis heureux que vous acceptez de venir vous entrainer a mes cotes.
Je dois vous former pour le corps a corps et ...

Ses yeux restaient fixés au niveau des hanches de la dame.

Euh je disais que si vous etes pretes je vais deja vous apprendre a frapper .

Les coups cessèrent et le Mercenaire se dirigea au fond de la salle afin d'éponger la sueur qui lui collait au corps à l'aide d'une serviette. Puis, se retournant, il fit mine d'avancer vers elle afin de la saluer.
Toutefois, lorsqu'il s'arrêta en plein milieu de sa phrase, elle releva la tête intriguée.
Le Mercenaire restait là, sans bouger, sa phrase en suspens.
Il fini par se reprendre et enchaîna, tout en fixant obstinément ses hanches, puis s'arrêta de nouveau.
Lorsque Mirelen comprit enfin ce qui semblait déranger son interlocuteur, son malaise et sa gêne s'en trouvèrent augmentés. Ne sachant plus où se mettre, se sentant à la fois flattée par le regard que lui portait son allié, mais aussi horriblement gênée et empruntée. Elle ne se sentait pas du tout à sa place dans cet endroit et elle se tordait les mains tout en se mordillant la lèvre inférieure d'un geste nerveux.

Enfin, il lui demanda si elle était prête et elle lui répondit, trop rapidement, et sans aucune assurance.

Euh ou..i
Oui.
C'est comme vous voulez.

Elle désigna d'un geste de la main, le sac de sable sur lequel il s'entraînait un instant auparavant.

Je dois frapper ce sac ?

Tant que Baldrik essuyait toute la sueur, la dame lui repondit qu elle se sentait préte pour l entrainement.
Elle lui désigna le sac et demanda si c est avec cela qu elle comencerait.
Baldrik, toujours sous le charme, lui demanda d approcher un peu .

Si vous voulez commencer par frapper, pas de probléme mais avant je vais mettre ses lambeaux de tissus autour de vos points pour ne pas abumer vos mains.

Il prit les morceaux et entoura les mains de Mirelen.

Comme ses mains sont douces, cela se voit qu ils n ont pas l habitude des guerres.

Bon voila, avec ceci vous n aurez pas mal aux mains euh plutot moins mal aux mains.

Il la placa devant le sac, puis se mit derriere elle, il était tellement prêt qu il sentait son parfum lui enivré la tête.

Formation, aujourd hui c est un ordre du chef que t as recu, tu n es pas la pour révasser sur Mirelen. Se répétait il tout bas.

Tout d abord nous allons voir votre position.

Il se plaça a ses cotés.

Faites comme moi.Regardez mes pieds, l écartement est a peu prés identique au niveau de mes epaules pour une meilleure stabilité.
Aprés, il faut prendre les mesures entre vous et votre adversaire.Ne pas être trop loin pour ne pas être déséquilibrer a chaque coup porté et ne pas être trop prêt vous perderez en force.

Le seigneur regardait Mirelen essayait de se placer.La pauvre était encore stréssée.Elle mordillait ses lèvres, ce qui lui donner un certain charme.

Maintenant serrée les poings, et attention ne mettez jamais votre pouce dans votre poing ou alors vous pourriez le regrettez et vous retrouvez avec un pouce cassé.

A présent vous êtes prêtes pour quelques frappes.

Lui indique le sac du doigt.

Faites moi voir ce que vous savez faire, je pourrais corriger vos erreurs si il y en a .

Il lui demanda d'approcher, ce qu'elle fit en hésitant un peu. La proximité du renaissant avait quelque chose de troublant.
Il lui prit doucement les mains et se mit à les bander à l'aide des lambeaux de tissus.

Tandis qu'il s'affairait, absorbé par sa tâche, elle put l'examiner discrètement.
Elle savait que sous ses airs de guerrier se tapissait un Seigneur attentif et bienveillant. Elle arrivait même à discerner parfois des éclairs de douceur dans ce regard sombre.
Le regard de Mirelen glissa lentement sur ses épaules, puis sur son torse dénudé.
Encore couvert d'un peu de sueur de son précédent entraînement, le corps de son allié luisait légèrement sous les rayons de l'astre solaire qui filtraient par une fenêtre, soulignant ainsi sa musculature de guerrier.
Malgré tout, elle ne pouvait nier être sous le charme du mercenaire.

Lorsqu'il eut terminé d'enrouler les bandelettes autour de ses mains, elle détourna rapidement le regard, rougissant à l'idée qu'il ait pu se rendre compte de l'examen auquel il était soumis.
Il l'entraîna vers le sac de sable où il s'exerçait quelques temps auparavant et après l'avoir conseillé sur sa posture, il l'invita à frapper.
La distance entre les deux Ombres étant restreinte, Mirelen pouvait sentir le parfum de celui-ci et elle du faire de grands efforts pour reporter son attention sur le sac de sable et non sur le souvenir furtif d'un baiser échangé.

Ayant réussi à reprendre un peu le contrôle de ses pensées, elle ferma le poing, mais pas assez fermement et elle frappa un premier coup, trop faible.
Ne s'attendant nullement à quelques résistances du sac, elle resta surprise lorsqu'une douleur lui parcourut le poignet. Elle prit son poignet dans son autre main et baissa le regard vers le sol, tentant vainement de cacher son échec à son allié.

Il est plus résistant que sous la lame.
Je.. je retente.

Serrant les dents, le corps trop raide de par sa nervosité, elle referma fermement les poings et porta avec force un coup de la droite, puis de la gauche. Ses yeux se mouillèrent lorqu'elle sentit, cette fois, la douleur se propager jusque dans ses bras.
Elle ferma les yeux puis s'arrêta là, attendant songeuse les prochaines instructions de Baldrik.
Si elle connaissait bien la douleur morale, elle réalisait à l'instant tout ignorer de la douleur physique.

Dame mirelen obéit aux instructions du renaissants et se mit a repeter ses exervices.

Baldrik remarqua que son visage se crispait, surement du par la douleur, a chaque coup qu elle portait.

Puis se fut les larmes dans ses yeux, elle cessa tout en esperant surement que cela suffirait pour l instant.

Le guerrier s approcha doucement d elle, lui prit doucement les mains et ota délicatement les bandelettes couvertes de sang.

C est suffisant por l instant.

Il la conduisit jusqu au banc qui se situait au fond de la salle

Reposez vous quelques instants, je reviens tout de suite.

Baldrik alla chercher un pot avec un drole de melange a l interieur une bassine d au froide et un verre d eau .

Il offrit le verre a Mirelen

buvez, il fait si chaud que vous devez mourir de soif

Il posa la bassine pres de la dame et s agenouilla devant elle.
Lui prit les mains et les trempa dans l eau.

Ca calmera un peu la douleur

Puis il ressortit delicatement ses petites mains, les essuya, pris le drole de melange et l appliqua sur les plaies

C est un melange d herbe qui protege contre toute infection et calme les douleurs
On reprendra l entrainnement des que vous irez mieux

IL se colla doucement pres d elle

Donc vous etes libre de partir, le cours est fini

Pourquoi avait il dit ca lui qui voulait rester a ses cotes

Euh mais si vous avez des questions ou autres choses a demander vous pouvez rester je me ferai un plaisir de vous repondre