Une nouvelle venue

La jeune femme s'approchait à pas rapides mais legers de la taverne.
elle ne savait pas trop ce qui l'avait emmené jusqu'ici.
ses pas.. son instinct toujours lui.. il n'en faisait qu'a sa tete, elle etait obligée de le suivre, sans quoi, il ne la laisserait pas.
ca lui trainait dans la tete, ca lui tordait le ventre...
entendant un grognement, elle en vint à se demander si ce n'etait pas plutot la faim qui lui tordait le ventre.
elle regardait l'auberge devant elle et s'arreta au pas de la porte.
elle hesita un moment puis poussa la porte.
elle jetta un oeil furtif, tete baissée, les yeux camouflés par sa capuche.
elle voyait sans etre vue.
la place semblait s'etre calmé depuis peu seulement.

bonjour laissa t'elle sortir, sa voix etait sombre, mais une grande douceur y etait perceptible

elle s'assit à une table, ne prenant pas la peine de retirer l'etole qui la couvrait de la tete au pied, abaisser sa capuche suffirait.
elle fixai la table, attendant que quelqu'un se manifeste.

Accoudez aux comptoir a son habitude argawaen senti un léger courant d'air lorsque quelqu'un ouvrit la porte. Il finit tous de même sa chope et c'est seulement lorsqu,il l'entendit parler qu'il se tourna.

Elle avait choisi un place et c'était assit. Il dépossa sa chope et se dirigea vers elle d,un pas lent.

Bonjour damoiselle, Je suis argawaen des ombres.

Peut on s'avoir ce qui vous entraine dans un pays comme le notre? Vous chercher quelqu'un? Simple voyageuse? VOus avez besoin des service de la confrérie?

Il était toujours aussi soucieux des qu'un inconnu arrivait sur les terres des ombres. Comme ils avaient pas mal d'ennemi mieux valait savoir d'embler à qui il avait affaire.

Cela faisait des lustres qu'il n'avait plus mis les pieds à la taverne de la Confrérie. Mais aujourd'hui, il avait du temps et voulait renouer le contact avec ses compagnons.

Il poussa la porte avec, néanmoins, une certaine appréhension. Son escapade avec dame Nienor n'était pas pour le rassurer. S'il était au courant, le seigneur Argawaen aurait peut-être voulu lui régler son compte à la première occasion.

Justement, le capitaine des Ombres était là, attablés avec une nouvelle venue.

Il s'approcha, regardant l'ombre dans les yeux, essayant de discerner ses sentiments. Autant vider l'abcès.

Il se plia aux règles de la galanterie et se présenta à l'inconnue.

Mes salutations ma dame, bienvenue chez les Ombres. Je suis le seigneur Delduwath, membre de la Confrérie.

Il porta ensuite son regard sur le seigneur Argawaen.

Mes salutations seigneur Argawaen....

Et tenta de connaître ce qu'il savait.

... Je ne vous ai pas croisé ces derniers temps chez les Chats? Est-ce un endroit que vous fuyez ?

Anqualë leva ses yeux d'emeraude sur l'homme qui s'etait approché.
Elle fixa son regard sur le sien pendant un long moment, cherchant à capter ce qui se cachait derriere.
Un sourire se dessina sur le coin de ses levres.

Bonjour monseigneur !

Elle fit un signe de tete en signe de salut

Ne vous inquietez donc pas, je ne suis qu'une voyageuse affamée.
Auriez vous quelque chose à me proposer ?

Son regard se tourna vers le deuxieme homme.
Elle le fixa de la meme facon que le premier... ce dernier semblait plus inquiet.
Elle lui fit un signe de tete en guise de salut et regarda le seigneur Argawaen du coin de l'oeil, observant avec attention sa reaction.
Elle essayai de cacher le sourire qui se dessinai sur la commissure de ses levres.

Voyageuse.... dans ce coin de pays.... Et bien et bien voila qui est pour le moin... peu ordinaire diront nous.

La bellette arrive ici, ta une cliente qui meurt de faim.

il regarde si il ne peux pas voir mir ou la bellette a la ronde quand delduwaht se ramena.

Les chats....

il fixa l'ombre d,un regard d'acier....

Une auberge ou on apprendre bien des chose en parlant avec l'aubergiste et un lieux fort peux fréquantable.... Au vu de ce qui s'y passe...

Ses poing se crispèrent, mais il se controlait encore...

Je suis étonner de vous voir seul d'ailleurs.

un petit rictus mauvais apparu au coin de ses lêvres. Il se dit qu'il ferais mieux de s'assoire et de ce calmer un peu.

Vous permettez, demanda t'il a la voyageuse

sans attendre la réponse il s'assit sur une chaisse.

Du coin de l'oeil, il regardait Mirelen s'activer à nettoyer les derniers vestiges qu'avaient laissé la dernière batailles des Ombres, tandis que lui faisait semblant de compter les bouteilles en vu de l'inventaire.

Nul besoin de compter les bouteilles, vu le mal fou qu'il se donnait à sauver de l'argent à l'auberge afin de lui-même l'empocher, il savait exactement combien de bouteilles d'alcool il y avait.

La porte s'ouvrit, laissant passer une cliente.
Il ne bougea pas, la petite sotte s'en occuperait.
Ses lèvres se tendirent en un rictus mauvais tendis qu'il songeait à la pacifique Dame. C'était la seule de ces mercenaires sur laquelle il avait le dessus.

La nouvelle venue passa devant le comptoir pour se rendre à l'une des tables. Malgré le vêtement ample qui la couvrait, on pouvait aisément deviner ses formes.
Continuant son examen, le regard de la Belette glissa jusqu'à l'arrière train de la Dame. Cela suffit à le décider.

Passant rapidement devant Mirelen, il se dirigea vers la nouvelle venue.
Mais pas assez rapidement hélas. Le chef des Ombres était déjà au devant de la Dame et fut vite rejoint par Delduwath qui à peine entré dans la place, s'était dirigé à la table.

Qu'a cela ne tienne, il imaginait ces deux là que comme deux brutes sans cervelles. Avec un aussi joli postérieur, cette Dame méritait mieux.

Affichant son plus beau sourire, il se présenta de cette voix mieleuse qu'il utilisait lorsqu'il cherchait à obtenir quelque chose.
Peut-être un bon pourboire, ou une aventure, qui sait.

Bonjourr ma Dame, je suis Niphred, l'humble aubergiste de cette Confrérie.
Que puis-je vous servir qui vous agréerait ?

Il usa d'audace pour impressionner la Dame, mais étant trop radin pour s'offrir lui même...

La confrérie se fera un plaisir de couvrir les frais de votre séjour.

Sa réaction ne laissait place à aucun doute. Il savait. Il joua franc jeu.

Dame Nienor, et je pense que vous la connaissez aussi bien que moi, est quelque fois contradictoire. Elle aime être aimée, mais elle aime tout autant sa liberté....

il tira une chaise, regarda la dame qui semblait sourire et hésita à poursuivre devant elle. Cela ne la regardait pas.

Il préfera porter son attention sur la dame.

Alors, vous êtes ici de passage ? Et où voous rendez-vous, si cela n'est pas indiscret?

Il s'assit à sa gauche, la laissant ainsi entre lui et le seigneur Argawaen.

Il s'adressa ensuite au tavernier qui venait de faire son apparition.

Sers-moi un verre de gratsch et pas de la dernière cuvée frelatée !!!

Et je te conseille de faire au mieux pour la dame !

Argawaen sera les dents... bien des images passèrent dans ca tête a ce moment la... la plus part avait pour theme delduwath et du sang.....

c'est ça, c'est ça....

il se secoua a l'arriver de la bellette...

en.. quoi... payer..... à oui bien sur... la confrérie couvre tous les frais de séjour de la dame.

puis regardant la bellette dans les yeux rajouta plus bas

et bien sur ca sera retenu sur tes gages...

Puis en regardant toujours de travers deldu, il se commenda un verre de wislkey.

Et regarde ce que tu as a manger aussi, j'ai faim. Et vous noble dame vous mangeriez bien quelque chose.

Anqualë se trouva entre les deux hommes.
Elle ne laissa rien paraitre mais caressa la dague qu'elle avait accroché à la cuisse pour se rassurer.
Son manteau cachait assez bien ses armes pour que ses hotes ne les voient pas. Si les choses tournaient mal, elle aurai l'avantage de la surprise.
Elle leva les yeux sur le tavernier.
Celui ci semblait des plus perfides.
Elle ouvrit la bouche et lanca :

Votre meilleur alcool, mais ne l'empoissonez pas !

Elle lui adressa un sourire en coin.
Remercia Argawaen et lui fit signe de tete pour acquiesser de son appetit.
Elle se tourna vers l'homme assit à sa gauche.

Vous ne me croiriez pas, si je vous disais... que je ne sais pas comment j'ai atteri ici, ni meme pourquoi...

Il regarda Delduwath d'un air qui en disait long sur ce qu'il pensait du mercenaire. Il nota mentalement d'ajouter plus d'eau que de coutume dans le verre de celui-ci.
Puis, il marmonna faiblement entre ses dents, pour lui-même.
"C'est pas à toi que je parle"

Puis, il détourna vite le regard avant que celui-ci se rende compte qu'il le dévisageait.

Il reporta son regard sur la Dame. Malgré qu'il remarqua brièvement qu'elle avait de jolis yeux émeraude, il trouvait dommage de camoufler cette charmante silouhette sous l'ample vêtement.

Reprenant sa voix doucereuse...

Je vous apporte une vold'ka.
Mais peut-être voulez-vous retirer votre cape, il fait très chaud ici, vous risquez l'inconfort. Passez la moi, j'irai la suspendre pour vous.

Elle lanca un regard au tavernier

Ca ira, je vous remercie.

Elle pensa en elle meme qu'au vu de ce personnage, il serai le premier à lui faire les poches, la vie n'est dejà pas facile, elle va pas non plus tomber dans des pieges aussi idiots...

En effet je ne vous crois pas.... répondit-il à la dame.

Mais le tavernier, sans gêne, le coupa dans sa ocnversation. Il le regarda froidement.

La belette a raison, mettez-vous à l'aise....

il se pencha à l'oreille de la dame et lui murmura

Mais ne lui confiez pas vos affaires, c'est un détrousseur...

Puis, il s'adressa au taverneir.

Alors, tu nous amène notre commande ? Et n'oublie pas aussi de nous amener de quoi ripailler !

Elle Regarda Delduwath du coin de l'oeil

Evidemment.. personne ne me crois...

la jeune femme soupira

c'est toujours ainsi..

Elle maudit à ce moment son ami Destin qui l'avait poussé ici.
Elle gromella entre ses dents..

Je vais encore passé pour une fourbe ou une illuminée...


voyant l'insistance des hommes à ce qu'elle se decouvre, elle crispa sa main sur sa dague

je vous remercie, ca ira... repeta t'elle
Et je ne doute pas que ce que vous dites est vrai... ca se voit rien qu'a sa trogne..

Le regard de la Belette descendit lentement de la tête au pied de la dame.

Dommage

Il pensa que ce devait être encore une de ces Dames, toujours prête à aguicher les Renaissants d'un battement de cils, mais peu promte à montrer leurs charmes.
Pff cette nouvelle génération de Renaissantes étaient exaspérante.

Il se dirigea vers le bar afin de préparer les breuvages. Il remplis au trois quart un verre de whisky, puis un autre de vold'ka. Ensuite,, avec un rictus mauvais, il rempli le troisième verre de gratsch à moitié, avant de remplir d'eau les trois breuvages jusqu'à raz bord.

Il posa le tout sur un plateau et s'apprêta à apporter les commandes, mais se ravisa.
À quoi bon perdre son temps avec cette pudique. Il avait mille autres choses plus interessantes à faire.

Avisant la petite sotte, à quatre pattes, nettoyant une tache d'alccol récalcitrante, il la héla avec un sourire mauvais.

Hé Mirelen, arrête de faire semblant de frotter et va servir la clientèle qui attend.

Argawaen leva les yeux au ciel lorsque delduwath susura quelque chose à la dame. Mais un large sourire se dessina rapidement sur son visage au vut du ton sur lequel elle lui répondit.

Mais dites moi ma chere, on peux savoir votre nom et d'ou vous venez?

Il riait intérieurement, delduwaht ne pouvais s'empecher, des qu'il voyait une femme, il devenait collant....

La dame semblait tendue. Il remarqua une de ses mains posée sur ses cuisses. La cape y faisait une bosse. Il ne dit mot mais compris que la dame semblait être plus dangereuse qu'il n'y paraissait.
Par instinct, il se crispa lui-aussi et porta une main à ses poignards, discrètement.
Le danger quelque fois prend des formes bien insoupconnable.

Argawaen s'adressa à la dame, il poursuivit à sa suite.

Soit alors vous aimez le danger ! Vous avez frappé à la bonne porte !

Elle posa son chiffon dans un bac d'eau savoneuse et s'essuya le front du revers de la main.
Malgré que le Seigneur Baldrik l'eut aidé à ramasser les éclats de tables et de chaises que la dernière lutte des Ombres ait laissé, il y avait fort à faire pour tout nettoyer.

En relevant la tête au cri de l'aubergiste, elle vit que le Chef des Ombres avait quitté sa place au comptoir et avait rejoint le Sieur Delduwath et une Dame qui lui était inconnue, à l'une des tables.

Essuyant rapidement ses mains sur son tablier, elle se dirigea vers le bar, y pris le plateau puis se dirigea vers la table occupée par les trois renaissants.

Glissant une mèche de cheveux derrière son oreille, elle servit les trois client puis elle leva son regard triste vers la nouvelle cliente.
Celle-ci ne ressemblait pas aux rares voyageuses qui avaient l'habitude de fréquenter l'auberge et elle en fut étonnée. Était-ce la la nouvelle recrue de cet affreux bourreau qu'était le chef des Ombres ?
Elle se permit de la saluer d'une voix timide, quasi inaudible.

Bonjour et bienvenue à la Confrérie ma Dame.

Elle salua ensuite rapidement ses deux alliés d'un léger hochement de la tête, puis s'apprêta à retourner à son chiffon.

Elle regarda le seigneur

Je suis Anqualë.
Je suis une exilée d'un pays lointain... Mes pas m'ont menés ici, je ne sais trop comment.

Elle savait qu'elle devait s'habituer à ce nouveau nom.. elle avait beau se le repeter, Anqualë, c'etait pourtant pas tres different D'Ankou, mais ca lui faisait etrange...

Elle jeta un regard à Delduwath

mais evidemment, personne ne me crois..

Elle vit l'homme que visait son regard se raidir et lui sourit
Une jeune femme s'approcha et les servis, Anqualë la remercia d'un signe de tete en l'observant. Elle avait l'air bien triste et ne doutais pas que la belette qui lui servait de patron devait y etre pour quelque chose...
Elle lui adressa un doux sourire

Ce n'est pas la belette, comme il s,y attendait, mais mirelen qui rapporta les verres.

Merci beaucoup mirelen.

Il approcha le vert de c'est levre et le redépossa pour répondre à la dame sans prendre une gorger.

Anquale...anquale... cela ne m'est pas étranger...

Il avait beau chercher, mais rien ne lui vien a l'esprit.

Je suppose que c'est un pas devant l'autre qui vont on conduit ici, voila tous.

il sourit

Anqualë jetta un rapide coup d'oeil inquiet à Argawaen en l'entendant reflechir tout haut
Elle le fixai, le souffle coupé.
Apparemment, il ne savait rien. Elle respira de nouveau et lui sourit.

Enfin quelqu'un qui me croit !
Vous semblez etre quelqu'un de sensé... et pas si mefiant que ca, pour un maitre de confrerie.

Elle regardait face à elle mais son sourire lui etait adressé.
Anqualë leva son verre, fit un signe et y trempa les levres.
l'alcool etait doux, comme dilué. Elle reposa son verre sans mot dire et s'adossa au siege, ce qu'elle n'avais osé faire avant.

Personen ne la croit ? Ce ne'st pas la question, rumina-t-il dans sa barbe.

Ecoutez dame Anqualë, peu importe ce qui vous a mené ici. Que je vous croie ou pas. Personnellement je pense que le hasard fait quelque fois bien les choses. Si vous ne savez pas pourquoi vous vous êtes arrêtée à cette taverne, peut-être que la réponse vous parviendra d'elle-même plus tard.

Il prit son verre de gratsch en remerciant du regard dame Mirelen. Il se demandait combien de temps sa consoeur allait supporter encore sa condition.

Il recracha aussitôt le breuvage sur la table, en direction du seigneur Argawaen. Il se leva aussi sec.

Nom d'un chnil. Ce n'est pas possible de pouvoir servir une boisson pareille ! A croire qu'on veut m'empoisonner !

Un doute lui vint à l'esprit. Il regarda vers le seigneur Argawaen. Non ! Ce n'était pas son caractère.

Il faut faire quelque chose !

Il pointa du doigt le comptoir et regarda le seigneur Argawaen.

Si on ne se débarrasse pas de cette raclure, je ne mettrais plus les pieds ici !

Sur ces mots, il se dirigea vers le comptoir....

Il vit arriver le Sieur Delduwath à grands pas vers le comptoir.
Un seul regard vers le mercenaire suffit à faire comprendre à l'aubergiste que celui-ci n'était pas très content.

Vite, il devait trouver quelque chose.
Il pris sa voix doucereuse et annonca d'une voix suffisament forte, que le seigneur Argawaen entende

Oh! Seigneurrr Delduwath!

Dame Nienorr à laissé un message pour vous. Elle demande de l'attendrrre à l'écurrie, elle y serrra dans un quarrt de cirrfeux.

C'était le temps dont avait besoin la Belette pour disparaître.

Mais qu'est-ce que....

Argawaen vit delduwaht lui craché dessus, il se releva mais pas a temps pour tous évité....

delduwaht se pleignit et se dirigea droit haut comptoire. Argawaen le suivit de pres et lui mit la mait sur l'épaule... Il voulait avoir des explications claire de la belette avant que deldu ne le tue carrément.

Peut être y avait-il eu juste probleme avec le dernier arrivage d'alcool. Comme il dépossa sa main sur l'épaule de se dernier et qu'il s'apprétait a lui demander d'attendre....

La belette parla...

sans réfléchir, il poussa un peu deldu pourqu'il lui soit face a lui et lui balanca sont point dans le ventre...

Puis fit un pas de reculons aussi surpris que delduwath de ce qu'il venait de faire. Il n'avait pas réfléchit, ce retenant juste depuis trop longtemps, c'était partie tous seul...