Une nouvelle venue

Argawaen sourit, attrapa une bouteille de vodka et deux verre prope. Puis regarda delduwaht et rit.

Ir mat mon vieux.

il riait toujours et se dirigea vers la table ou il avait laisser la dame. Déposa un verre devant lui et un devant elle et les remplis.

Tennez, cela sera meillieur.

Tu te join a nous mir?

Anqualë sursauta en entendant Argawaen parler la langue de son pays.
Elle remercia l'homme

Yech'ed mat laissa t'elle echapper

Elle leva son verre et le bu d'un trait

Belle mise au tapis !

Elle n'avait pas encore terminé le nettoyage que déjà les Ombres remettaient ca.

Elle eut un geste vers eux pour les séparer, mais ayant peur de prendre un coup par mégarde, elle s'arrêta avant de se retrouver entre les deux mercenaires.
Elle tenta néamoins de les calmer de par ses paroles, mais elle douta que sa voix fut assez forte.

Mes Seigneurs, que va penser notre voyageuse de vous voir agir comme des sanglimouths ?

Elle ferma les yeux, dépitée, et espéra que sa voix avait suffisament porté.

Lorsqu'elle les réouvrit, ce fut pour appercevoir les deux mercenaires frapper l'aubergiste.
Elle eut un mouvement vers lui, puis se ravisa.
Bien qu'elle eut le droit de se réjouir de cette correction, elle détestait les bagarres et la violence, mais malheureusement, le caratère emporté de la plupart des Ombres s'y prêtait que trop souvent.

Elle resta donc sur place, sans bouger, tandis que les deux Ombres regagnaient la table où se trouvait toujours leur visiteuse.
Du coin de l'oeil, elle vit Niphred se relever le nez en sang et une pommette excessivement enflée, avant disparaitre dans la cuisine après avoir fouillé dans la caisse. Elle se dit que sans doute il filerait par la porte arrière et gagnerait la Cité Neutre où il passait décidément de plus en plus de temps.

Le Chef l'invita ensuite à se joindre à leur table. Hésitant à les rejoindre, malgré que leur humeuse belliqueuse sembla avoir disparu en s'en prenant à la Belette, elle lui fit signe qu'elle revenait dans un minute, préférant se préparer un Kal-à-fé auparavent.

[Hrp/ Z'êtes trop rapide pour moi à poster, après je dois effacer mes posts. Alors faites comme si de rien n'était. de toute facon, Mirelen ne parle pas. ]

vidant son verre d,un trait tous comme la voyageuse, Argawaen les remplis à nouveau.

Je vous remerci, mais a deux contre un on a pas trop de mérite surtout sagissante de niphred.

il rit puis se trouna vers mirelen juste, avant quel ne parte faire son café.

Dites moi auriez vous l'amabilité de nous apporter a manger en revenant dame mirelen. Niphred était supposé y voir, mais je crois qu'il a oublier et a entendre le ventre de madame.

il sourit. Yech'ed mat ce dit-il, une des rares à lui avoir répondu dans cet langue a un ir mat... décidéement elle lui disait de plus en plus quelque chose cette étrange dame....

il prit son verre a nouveau plein et en pris une petit gorger.
Vous compter rester longtemps parmis nous?

Son voisin avait entendu son estomac, elle essaya de ne pas montrer sa gêne
Elle sentit pourtant ses pommettes se teinter de pourpre

rester ... euh... longtemps ?... je ne sais pas...

Elle paru songeuse, restant un instant à fixer son verre

Je ne sais pas pourquoi je suis venue.. alors, j'espere le decouvrir.. donc, je resterai.. certainement tant que je ne le saurai pas.. ou quand il me viendra l'envie de partir... ou jusqu'a ce qu'on me jette dehors !

Elle se mit à rire, l'alcool commencait à faire effet

Dis donc ! cette Vold'ka est bien meilleure quand elle n'est pas coupée !

Elle poussa discretement son verre vers le seigneur buveur, lui adressant un leger sourire.

Voyan le verre vide qu'on lui tendit. Argawaen remplit donc son verre une troisième fois.

Je vous souhaite de le découvrir belle dame. SI vous aviez besoin d'aide vous n'aurez qu'a demander.

Il remarquait que c'est joue rougissait ou est-ce qu'il s'agissait d,une illusion d,optique....

Vous jettez dehors, personne n'osera faire telle chosse ici voyons.

Il lui sourit, leva son verre et en pris une nouvelle rasade.

Je suis content que notre vold'ka vous plaisse.

Puis il regarda au allentour.

Comme vous le constaté c'est assez tranquil dans le coin pour le moment. Si vous avez à rester je suis sur que l'auberge pourra vous trouver une chambre a votre gout.

Puis se risquant un peu.

Sinon j'ai une demeure possédant plusieurs chambres que vous pourrez visité et utiliser. Si vous préfèrer un endroit plus respectable.

il sourit.

Chez lui ?
Anqualë le regarda d'un air etonné
En voilà un qui ne doutait de rien...
Elle eu envie de rire mais se retint, pour ne pas offusqué son hote, se contentant d'un sourire, qui pourtant trahissait certainement ce qu'elle pensait.
Elle le regarda droit dans les yeux.

Je ne sais pas encore où je serai le plus en securité.

Elle pensait dejà à la reponse du seigneur et en riait d'avance.
Elle espera seulement que celui ci pu l'etonné.

Frappan doucement son verre contre celui de l'étrangère il le leva par la suite.

Ir mat

Il le vida d'un trait.

Ho, mais la question ne se posse même pas. Vous serez plus en sécurité ici. La ou je ne suis pas et ou l'action non plus d'ailleurs.

A vous de voir si vous aimez mieux vivre dangereusement et essayé de découvrir la raison de votre visite. Ou alors vous prélasser ici en vous encroutant.

il se lève.

Si bien sur vous pouvez tenir a cheval, on fera une halte a ma réssidence dans la ville Des Ramparts pour la nuit. Elle est tous près. Deplus j'ai une armée qui est partie se matin pour la ville de l villia. Ils ont osser attaquer une ombre, il le payeront tres cher. J'avais prévu les rattraper demain dans la journée. Passer la nuit au camp et ainsi êtres pres pour la bataille du lendemain.

Mais bien sur si vous préfère la sécurité de l'auberge je comprendrais.... Après tous l'aventure n,est pas pour tous le monde....

Il la regardait avec un petit sourire en coin et tendit la main...

Elle ecouta la tirade du seigneur et rit.
L'homme avait deviné ses pensées.
Cette humeur n'etais pas dans ses habitudes, elle avait dejà trop bu, et le repas tardant à venir, elle n'avait plus vraiment faim.

Et bien mon cher, j'espere que vous ne le regretterez pas, je ne suis pas toujours de bonne compagnie !

Elle se leva, releva sa capuche sur sa tete et attrappa la bouteille qu'elle glissa sous sa cape

Les chevaux ne me font pas peur... ce serai plutot le contraire, j'espere que le votre n'est pas craintif.
Par où allons nous ?

Par ici belle dame,

répondat-il a ca cquestion.

Je suppose que vous êtes a pied. Je vous fournirais donc une monture si vous pouvez tenir en selle. SInon il me ferrra plaisir de vous acceuillir sur ma selle. Mais ne vous en faites pas nos cheveaux sont bien dresser et habituer au bruit et au combat. IL n'ont pas peur facilement.

il sourit et entraina anqualë jusqu'a la porte. Mais avant de sortir il se retourna en direction de mirelen.

Dame Mirelen. J'aurais besoin de quelqu'un pour commendant mon artillerie au cour de cette bataille et je vous ai choisi.

L'auberge n,est pas une place pour une guerrière et puis un peu d,expérience supplémentaire ne vous fera pas de mal.

Voyons qu'elle s'apprètent a parler il leva la main pour l'intérompe.

Je vous dit a demain, sur la colline a un cirfeu de la ville Les ramparts on partira de la pour rejoindre mes troupes. passer une bonne nuit.

Et il sortie.

Anqualë reprenais peu à peu ses esprits, essayant de dominer le flux de l'alcool qui se deversait dans ses veines.
Elle sourit à Argawaen.

Je sais monter monseigneur.

Elle ecouta les ordonnances destinées à Mirelen
Anqualë regarda la Dame.
Elle avait du mal à penser que cet être si doux, et semblant pacifiste pouvait etre une guerriere.
Elle aurai donc mal jugé.
Se prometant de se mefier un peu plus des apparences à l'avenir, elle lui fit un signe de tete en guise de salut, tourna les talons et sorti à la suite du seigneur

Delduwath était resté au bar, pensif.

Les propos du tavernier l'avait un peu secoué. Dame Nienor lui manquait.
Il sirotait encore son gratsch qunad le seigneur Argawaen s'en fut accompagné de dame Anqualë.

Il sourit en regardant le couple s'en aller.
"Et bien, le seigneur Argawaen semble avoir trouvé quelqu'un pour oublier dame Nienor!"

Juste avant de franchior le seuil, le seigneur Argawaen s'adressa à dame Mirelen.

Il regarda cette dernière, qui semblait d'un coup bien fragile.
Il lui aurait bien volontiers remonté le moral, mais la dame montait déjà les escaliers.

Il resta ainsi seul au comptoir, puis dépité, ayant terminé son verre, il se dirigea vers la porte.