Arrivée d'une Dame.

Après un long voyage à travers les terres arrides qui encerclaient le domaine de la confrérie, Nienor se dit qu'une petite halte à l'auberge ne pouvait que lui faire du bien.
Elle ouvrit les grandes portes de bois d'un coup de pied bien placé, histoire de faire une entrée fracassante.
La pièce était presque vide.
On ne pouvait voir personne derrière le comptoir.

Et bien! C'est ça l'accueil des gens du coin à une voyageuse fatiguée!
Aubergiste, du gratzch et en vitesse, je suis assoiffée.
Tu ne voudrais pas voir une Dame mourir en plein mileu de la salle?
Ou faut-il que je te saigne pour me désaltérer?

Les affaires urgentes étaient triatées. Delduwath avait besoin de prendre l'air et de se changer les idées. Il poussa jusqu'à l'auberge.

Il y pénétra en poussant la porte du pied. Peu de monde. Une dame se tenait au centre de la pièce. Il la toisa du regard.

Il tourna sa tête vers l'aubergiste.

Amène-moi ton meilleur gratsch

Il s'adressa alors à la dame.
ALors ma dame, vous cherchez de la compagnie ?

L'aubergiste avait trop peur pour se manifester.
On pouvait voir une touffe de cheveux dépasser de derrière le comptoir.
Un autre seigneur entra, une entrée un peu plus discrète.
Il s'adressa directement à Nienor, comme s'il la connaissait ou omme si elle était une quelconque renaissante en mal d'amour.
Qu'elle folie lui a-t-il pris de s'adresser à elle de la sorte!

De la compagnie?
Oui, celle d'une bonne bouteille, et non celle d'un renaissant n'ayant aucune correction et aucun respect envers les femmes.

Nienor se retourna vers le renaissant et le toisa à son tour, d'un regard à la fois méprisant et meurtrier.

Et à qui donc ai-je l'honneur?
Ou faut-il que je vous saigne aussi pour avoir la réponse que je souhaite?

Il ébaucha tout d'abord un sourire narquois, puis il éclata de rire et lui répondit, son regard dans le sien.

Voyons, ma dame, que faites vous ici, si ce n'est pour chercher de la compagnie ?

Il reprit une mine sérieuse et poursuivit.
Moi par contre, je suis içi pour rencontrer mes compagnons d'armes. Mais je n'en vois aucun !

Il sortit alors son poignard et le présenta menacant devant les yeux de la dame.
Quant à vouloir me saigner, cela sera pour une autre fois, même si j'aurai bien eu envie de me faire chatouiller par vos soins.
Je suis donc le seigneur Delduwath.

Il rangea son poignard tout en rajoutant.
Allez, je vais vous laisser à votre bouteille et me trouver un endroit mieux frélquenté dans cette auberge !

Pour ma part je suis Nienor, mercenaire.
Je suis venue ici pour me reposer, et non pour me faire insulter.
Insinuer que je ne suis pas fréquentable...

Nienor se digirea vers le comptoir et tira sur la touffe de cheveux qui dépassait

C'est pour aujourd'hui ou pour demain?
J'ai pas toute la journée. Et je cros que le monsieur attends aussi

Tout de suite madame, bafouilla l'aubergiste.

J'ai pas entendu! Qu'est ce que tu marmones?

Tout de suite madame...

Et sur ces paroles, l'aubergiste fonça vers sa réserve.
Nienor en profita pour s'installer à une table, déposant son arsenal de lames et croisant ses pieds sur la table.

Il poussa la porte lentement et doucement, cette dernier glissait parfaitement sur ses gonds. Sous sa cap on pouvait deviner un homme robuste et calme. Il avançait d'un pas lent et posé, lorsqu'il eu fait quelque pas, il regarda autour de lui. Deux renaissant qui fessait bien du bruit pour peux de chose. Il se gratta le menton, surment deux des nouveau.

Mheufff

fut tous ce qu'il dit d'abord, il s'avança et comme l'homme rangait son poignard il se tourna d'abord vers l'homme qui avait déclarer s'appeler delduwath.

Et bien vous êtes au bon endroit mon cher, nul besoin d'allez aillieurs. Prennez donc une chaise.

Il pointa une table ou se trouvait la dame, Puis se tourna vers elle.

Ici, on ne se bats qu'avec ceux qui nous ont fait tord, ceux pour qui on a été payer pour le faire ou alors quelqu'un que le visage ne nous reviens pas. Mais jamais entre membre de la confrérie...

Il la regarda de haut en bas, la détaillant.

Mais vous serez a votre place avec nous.

Il se tira lui même une chaise.

Vous permettez? discutons un peu

Un renaissant vint s'assoir à la table de Nienor.
Il semblait être de la région, mais n'avait pas plus de correction que le premier.

Je n'avais aucune intention de me battre, je suis trop fourbue pour ça.
Vous m'avez l'air d'être quelqu'un du coin, la confrérie vous dites?
Les gens d'ici n'ont donc aucune correction!

Ne voulant pas paraitre impolie, et pour donner l'exemple, la renaissante se présenta.

Je suis Nienor, à qui ai-je l'honneur?
Je préfère savoir à qui je m'adresse avant de discuter de quoi que ce soit.

Il invita Delduwath à sa table.
Nienor ne montra aucun geste de désaccord.
Il ne fallait pas trop faire de vagues dans une région inconnue, on ne sait jamais vraiment à qui on a affaire!

Un petit sourir en coin se dessine sur la bouche de l'homme.

Pardons, vous me trouvez impoli? Je vous demande l'autorisation de m'assoire à une table qui appartient a l'auberge, qui elle même appartient a la confrérie de l'ombre. Donc a tous les membres de la confrérie, résumons simplement, je vous demande la permission de m'assoir a ma table et vous me traiter d'impoli?

Il la regarda avec un franc sourir,

Ne nous disputons pas pour ci peux belle dame. Mon nom vous intéresse? Et bien je suis Argawean, mais cela n'a pas d,importance quel est mon nom. Ce qui est important c'est que je peux vous offrir une place a la confrérie de l'ombre.

L'aubergiste avait réapparu et il lui fit signe d'apporter des chops, ce qu'il s'empressa de faire.

Je pense que le sieur delduwath pourrait également y trouver sa place. Tous comme cette dame,

Il regarda en direction de mirelen

Un Seigneur assis à une table pas très loin de la leur se lève et se dirige au bar. Lorsqu'il revient vers eux, elle sent son regard glisser sur elle, mais elle ne tourne pas la tête, continuant de regarder, impassible, les deux renaissants pas très loin devant elle.

Puis, le Seigneur Argawaen, puisque c'est ainsi qu'il s'est présenté, leur demande de joindre la Confrérie. Comme si elle avait rellement le choix. Si vraiment il est le chef de ces mercenaires, on a du lui dire qu'elle avait suivi de son plein gré celui qu'on lui avait envoyé.

Elle ouvrit la bouche et d'un voix douce et posée elle ne répondit pas directement à la demande.

Puisque le tenancier semble avoir quelque difficultés avec le service, je puis peut-être me rendre utile en le faisant à sa place.

Puis, soupirant, elle ajouta plus bas, pour elle même:

Ca m'occupera et m'empêchera peut-être de trop réfléchir au passé.

La confrérie de l'Ombre?
Ca me dit vaguement quelque chose...

Nienor se remémora ce qu'elle avait pu apprendre auprès de ses oncles adoptifs.
Nombreuses étaient les confréries de mercenaires, certaines plus renommées que d'autres.
Mais celle là, la confrérie de l'ombre sonnait à son oreille comme un air de déjà vu.

Un éclair de lucidité la traversa!
Mais bien sur! Il s'agissait de la confrérie que tous les hommes de son clan révaient de pouvoir rejoindre.
Nienor se fit alors plus patiente et plus amicale.
Mais ayant appris à se méfier des paroles et des arrières pensées des Hommes, elle resta sur ses gardes.

Une place à la Confrérie de l'Ombre dites vous?
Et que me vaut cet honneur?
Faut-il que j'accomplisse une quelconque tache pour prouver ma valeur, comme un rite de passage?

C'était donc bien le seigneur Argewaen, la personne de contact de la Confrérie de l'ombre. Il retira la main, qu'il avait posée négligemment sur le manche de son poignard, mais resta sur le qui vive.

Je suis intéressé par cette place, seigneur Argawaen, c'est bien pour ça que je suis içi,répondit-il simplement. Ses motivations il les gardait pour lui.

Il regarda la dame qui s'offrait à faire le service. Une future confrère selon les dires du seigneur Argawaen. Il essaya de soupeser qu'elle pouvait bien être l'apport qu'elle pouvait apporter au groupe, de quel bois elle ppouvait bien être faite et s'il fallait s'en méfier. Mais elle ne laissait rien transparaître, même pas son nom.

Il lui fit signe pour lui indiquer que pour lui il était servi et reporta son attention à la table. Dame Nienor venait de répondre au seigneur Argawaen. Il tira une chaise, lentement, s'assit en regardant tour à tour la dame et le seigneur, et avec des gestes mesurés pour laisser le temps au seigneur de répondre. Une réponse qui l'intéressait aussi. Il fit un signe bref du regard à dame Nienor pour lui indiquer qu'il était derrière elle sur ce coup là.

La dame qui était arriver hier, avait enfin parler. Il lui souriait tous simplement.

Mais bien sur tous aide sera grandement apprécier. Et puis vous êtes bien plus jolie que lui.

Il montrat de la tête l'aubergiste.

Marché conclu donc, nous rajouterons une prime pour votre salaire, mais nous verrons sa plus tard si vous le voulez bien. Pour le reste, vous prennez la place quand bon il vous sembleras.

Il avait laisser unpeu de temps, de part cette échange avec mirlen, a dame nienor pour qu'elle réfléchisse. Et lorsqu'elle lui répondit elle semblais avoir quelque peu changer de comportement.

Un test? Non, pas pour le moment, vous avez été recommendez par un certain melkor. Cela vous dit quelque chose? Enfin ses sa vie et il peut la risquer en recommendant qui il veux.

Il prit une gorger

Et comme il se trouve que pour le moment nous avons de la place, je veux bien vous donné votre chance. Pour le reste vous aurez tous le loisir de nous prouvez ce que vous vallez sur le champs de bataille. Nous sommes les meillieurs des meillieurs que pour deux raisons. Une, nous finissons toujours nos contrat peux importe ce que sa nous coute. Deux, ceux qui ne sont pas de niveau a être parmis nous, ne reviennent généralement pas de leur premier mission. De ce fait il ne reste que la sommet.

Delduwath pris la parole a sont tour, il semblait que l'offre l'intéressait lui aussi. il le dévisaga longtemps, puis....

Oui, il me semble bien que vous correspondez à l'image qu'on ma décrite de vous... Il semblerais donc que nous ayons une place aussi pour vous.

Par contre vous devez bien avoir l'invitation qu'on vous a envoyé pour le prouver non?

Il écouta attentivement la réponse que le seigneur Argawaen donna à dame Nienor. La Confrérie correspondait à l'image qu'il s'en était faite. Son choix était maintenant établi.
Il regarda dame Nienor qui, par deux fois, avait posé de bonnes questions. Si elle décidait de faire partie du groupe, elle serait d'une aide précieuse. Son impulsivité raisonnée pouvait être un atout certain, pour lui qui n'aimait pas se découvrir si rapidement et qui préférait analyser les situations plus posément. Néanmoins, elle n'avait pas la langue dans sa poche, cela pourrait lui jouer de mauvais tour, à elle comme au groupe. Se méfier donc, pensa-t-il. Et puis attendons de la voir en action avant de donner un jugement trop hâtif.

Le seigneur Argawaen venait de s'adresser à lui. Il sourit à sa question puis reprit une mine sérieuse. Sa question l'avait fait tiquer. D'un geste vif, il sortit son poignard, se leva brusquement et dirigea la pointe de la lame vers la gorge du renaissant.

Qui êtes-vous ? Vous n'êtes pas le seigneur Argawaen ! Ou prouvez-le ! Je ne peux pas vous présentez d'invitaiotn ! Dites-moi donc pourquoi et vous aurez la vie sauve !

L'homme c'était relever d,un bond, face a lui de l'autre coté de la table, il avait ca lame a peu de distance de Argawean. Il le menacait et le sommet de répondre a une question. Argawean le regarda avec le sourir.

Vous croyez rellement être le premier à vouloir me trancher la gorge?

Delduwath sentit à cette instant quelque chose taper l'intérieur de sa cuisse droite. Une lame, la lame d'une épée, tenu par Argawean et qui pointait non chalament vers ses attribut masculin.

Si vous tenez a m'enlever la vie, sachez que vous perderez également votre masculinité mon cher. A vous de voir le quel des deux est le plus important.....

La mort effrait beaucoup d'homme, mais pas tous. Certain savait rester stoique devant elle. Par contre la vie sans certaine partie de son anatomie rendait les hommes bien plus nerveux. Il le regardait dans les yeux et vit que delduwath, n'avait pas l'intention de frapper pour le moment.

Ceci établi nous pouvons parler, de un si je n'étais pas celui que je prétend être je serais déja mort. Vous croyez que la confrérie laisserais un type se balader en chantant qu'il est argawean si ce n'étais pas le cas?

Il lui souriait toujour

VOus ne pouvez prouvez que vous avez recu l'invitation?

Doucement argawean se leva en retiran son épée de sa position menacante. Tous en écartant doucement la lame de delduwath, avec son autre main, il la retourna et la lui tendit.
Je n'ai donc qu'une chose a dire. Bienvenu parmis nous.

La tension était extrême. Delduwath ne savait pas qu'elle serait l'issue de la confrontation. Il regardait fixement le seigneur, sentant la lame pointer sur son bas ventre. Mais il ne sourcilla pas d'un cil et écouta le seigneur avec attention, prêt à porter le coup fatal.

Puis son adversaire se leva et lui tendit la main. Sa réponse le convainquit. Il rangea le couteau dans son étui et tendit sa main au seigneur Argawaen, avec un léger sourire.

Gardez votre épée. Je suis heureux de faire partie de la Confrérie, seigneur Argawaen !

Nienor regarda la scène avec grand intéret.
Ce genre de spectacle avait le mérite de la distraire, et elle ne put se retenir de rire.
Ce sont bien des mâles que je vois là.
Je sens que je vais me plaire ici!

La renaissante regardait les deux seigneurs, comme un lion regarderait une gazelle dans une plaine.
Son regard se détourna ensuite sur la seule autre femme qui était dans la pièce.
Elle ne connaissait pas son nom mais voyait déjà à son visage qu'elle avait de la peine.
Nienor n'était pas du genre à s'attendrir face a une telle expression mais cette fois, elle fut touchée pas le chagrin de la renaissante.
Elle arréta donc de rire.

Nienor se rappela les paroles qu'avait prononcées Argawaen avant le spectacle.
Ainsi elle avait été recommendée par Melkor!
C'était le meilleur ami de son père adoptif et aussi le plus agé de son ancien camp.

J'espère que ce vieu Melkor ne vous a pa raconté de mauvaises choses sur moi!

Elle avança vers le chef de la confrérie d'un pas sensuel et chaloupé.

Je ne suis pas une mauvaise fille vous savez!
Enfin si, un peu, mais seulement envers mes énemis!

L'auberge était peuplée de quelques hommes et femmes qui semblaient en grande conversation. Il était rentré sans bruit et personne ne l'avait vu rentrer. Il resta un moment à les observer dans la pénombre de l'entrée. Il se dirigea enfin vers le bar d'un pas rapide et toujours sans bruit. Il était vétu d'une longue cape noire qui lui recouvrait le visage, il portait une longue épée dans le dos. En passant devant le groupe qui discutait, il inclina très légérement la tête sans se dévétir.

- Gamin, sers moi un verre de gratsch
A voix basse il lui demanda si Argawaen se trouvait dans l'auberge. L'aubergiste lui désigna le seigneur qui conversait avec une Dame. Hathaldir prit une gorgée de gratsch et reprit son observation des lieux et des personnes présentes.

Ce petit échange amical fini Argawean remarqua que mirelen c'était lever et avait rejoind le comptoir duran leur petit altercation. QUand a dame Nienor elle semblais avoir été amusé par ce fait.

Puis elle s'approcha de lui, avec une démarche toute féminine.

Melkor, ma dit que ce qu'il voulait bien dire ma chère. Pour le reste je le crois sur parole.

Pour le reste je suis sur que vous êtes une mauvaise filles et que vous trouverez votre place ici.

SOnt attention fut alors attirer par quelqu'un qui commendait un verre. Il tira galament la chaisse a l'attention de dame neinor.

Si vous voulez bien vous donnez la peine.

Et il regarda a nouveau le nouvelle arrivant.

Dites moi, vous ne voudriez pas vous joindre a nous par harsard mon cher?

Le nouvel entrant ne bougea pas à la question d'Argawaen. Son visage masqué continuait de fixer en direction dans sa direction pendant quelque temps. Si son aspect était un peu menaçant, il répondit d'une voix plutôt amicale.

Seigneur Argawaen, j'ai parcouru des centaines de kilomètres depuis une semaine pour répondre à votre invitation. Je suis Hathaldir, mercenaire. Les Ombres m'ont tout pris et tout appris aussi. Ce serait un honneur de rejoindre votre confrérie, la plus noire et crainte du pays.

Les seigneurs présents ici sont également membres de la confrérie ?

Il s'approcha d'Argawaen pour le saluer.

Le chef lui avait tiré une chaise.
Ne pas le contrarier, voilà ce qu'était le maître mot.
Nienor s'assit donc à coté d'Argawaen, dans une gestuelle sensuelle.

Avec plaisir!

Elle adressa un sourire et un clin d'oeil au chef avant de reprendre le fil de l'action qui se déroulait autour d'eux.
Un autre renaissant avait été convié à la table.
Elle ne l'avait jamais vu, mais ne demandait qu'à en savoir plus.
Lui aussi était un mercenaire, attiré par la renommée de la confrérie.

L'autre renaissante de l'assemblée s'avançait avec un plateau comportant un verre ar personne.
En voilà une personne serviable, pas comme cet aubergiste!

Ah! Enfin une résence féminine.
Merci beaucoup de vous préoccuper de nos gorges assoiffées.
Je suis Nienor, enchantée.