Arrivée d'une Dame.

Il serra rapidement la main d'Argawaen puis imita la dame et s'assit a la table. Il remarqua ses gestes sensuels, son clin d'oeil au chef. Il ne la connaissait pas mais il fut instantanément sur ses gardes.
Quand l'autre dame s'approcha vers eux il fut surpris. Comme elle dénotait parmi les autres personnes, elle n'avait rien d'une "ombre". Il enleva sa capuche, laissant apparaitre de longs cheveux blancs.

Il se servit un nouveau verre.
Oui très serviable à vous Dame ... ? Hathaldir, pour vous servir.
Peut-être pourriez vous nous joindre à notre table, le service peut attendre .


Puis regardant à nouveau Nienor.
Oui c'est agréable de profiter de présences féminines. Mais j'ai l'impression que vous n'avez pas l'air si malheureuse en compagnie de tant d'hommes. Vous faites partie de la confrérie ?

Lorsqu'elle revint à la table occupée par les différents renaissants, la Dame se présenta. L'agressivité qui était la sienne à son arrivée semblait s'être considérablement amoindrie et elle prenait maintenant ses aises auprès des autres mercenaires.
Néamoins, cette Dame l'intriguait, comme la plupart des autres renaissants présents d'ailleurs.

Un sourire sans joie se dessina sur ses fines lèvres.

Je ne fais rien de plus que me familiariser avec le service de cette auberge.
Je suis également ravie de vous rencontrer.

Elle ne connaissait que bien peu ce milieu, sombre, habituée qu'elle était aux réceptions de salon et nobles convives que recevaient ses parents du temps où elle était toujours sous le joug paternel.

Le nouvel arrivant se présenta et laissa sa phrase en suspent afin de connaitre son identité. Elle realisa qu'elle ne s'était même pas présentée à tous ces gens et qu'ils devaient eux aussi être curieux de qui elle était.

À l'invitation du Seigneur Hathaldir, la renaissante posa le plateau contenant les verres sur la table et pris place.

Dame Cel.. euh Mirelen. C'est ca, Dame Mirelen

Elle s'était ravisée à la dernière seconde. Il n'était nullement obligé que ces gens connaissent son nom.

Dame nienor, s'assit mais lui fit un petit clin d'oeil, auquel il lui répondit par un petit sourir en coin. Puis le nouvelle arrivant se présentat et vien les rejoindres a la table.

Je suis content que vous puissiez vous joindre à nous siengeur hathaldir. Je susi certain que vous trouverez votre place parmis nous.

Ils s'assirent tous les deux, la dame revien avec un plateau et des boisson. Il la remercia d'un geste de la tête, elle pris place sur invitation de hathalir a la table. Voila 4 des personne qui avait été appeler a répondre a l'offre de la confrérie. Il fut extirpé de ses penser alros que la dame se présenta à tous. Une légère hésitation dans sa voix... Le contrat mentionnait un autre nom, mais bon ici chacun est libre d'oublier son passer.

Je suis content de vous acqueillir tous ici au sien de la confrérie.

il leva son verre a l'attention des nouveau arrivant.[i]

Il connaissait tout le monde autour de la table maintenant. Tous faisaient partie de la confrérie. Il était temps de laisser tomber sa méfiance et de faire confiance au choix du seigneur Argawaen. La confrérie devait être soudée.
Au geste du seigneur Argawaen, il se leva en brandissant sa choppe.

Alors santé à tous ! Moi, seigneur Delduwath, je suis fière de faire équipe avec vous au sein de la Confrérie. Que notre collaboration soit la plus fructueuse possible.

L'atmosphère se détendait. Les deux hommes qu'il avaient vu se provoquer en rentrant levaient leur verre ensemble. Il apperçut même un léger sourire sur le visage de la dame au visage si sombre et qui avait accepté de les rejoindre. Elle semblait cacher quelque chose, bien plus que son vrai nom qu'elle avait failli leur donner avant de se reprendre. Mais Argawaen sembalit avoir confiance en tous.

Je lève également mon rêve à la confrérie. Aux futures conquêtes et grandes batailles. Nul doute qu'elle saura tenir son rang, avec un chef tel que vous, en se tournant vers Argawaen. Et je lève mon verre aux jolies dames de cette auberge. En disant cela il regarda le visage de Mirelen, avec un grand sourire.

Tout le monde levait son verre et trinquait pour la confrérie.
Nienor voulait se joindre au mouvement lorsqu'elle vit que tos les mâles présents n'avaient d'intéret que pour Mirelen.
Certes, cette femme était fort belle et savait préserver un certain mystère sur elle, mais était-ce une raison pour l'ignorer, elle qui faisait tout pour être désirable.

La mercenaire sentit que cette autre femme serait une rivale potentielle.
Il faudraiten faire son amie pour ne pas souffrir de la concurrence.

Merci de lever votre verre pour nous seigneur Hathaldir, mais encore faudrait-il que votre geste s'adresse à toutes deux!
Je vois bien où va votre préférence, c'est votre choix.
Pour ma part, je lève mon verre au seigneur Argawaen, qui a su choisir ses aliés et rassembler une telle confrérie.

Elle but son verre, sans lacher le chef du regard, un regard emplis de flammes.
Elle fit ensuite un tour des convives, les évaluant comme elle avait été évaluée à son arrivée.
A part pour le seigneur Hathaldir, elle avait su piquer la curiosité de chacun, et se dit qu'elle saurait la satisfaire...

Un moment d'égarement. Il avait baissé trop vite la garde et il avait presque oublié qu'il était dans l'auberge des Ombres. Chacun de ses membres était fier, impitoyable et le moindre écart à leur respect se payerait chèrement. L'image des chevaliers de l'Ombre qui était venu le capturer lui revient à l'esprit. Il lui avait fallu tellement de temps pour se faire accepter, apprendre leurs codes et leur façon de pensée.

Il encaissa le reproche de Nienor, aux paroles aussi aiguissées qu'une lame. Elle parcourut du regard chacun des convives, comme pour les défier. Hathaldir ravala son sourire et la fixa. Il sentit aussi le regard lourd de sous-entendus de Delduwath. Montre la première faiblesse et ils te tueront.


Ne vous méprenez pas Niénor ! Mon geste s'adressait à toutes les dames ici et donc à vous. Mais je vous pensais sure de votre beauté, ai-je eu tort ? Il n'est pas question de préférence. Comme vous avez ignoré mes questions, j'ai pensé que vous m'aviez pris pour un valet.


Il vida son verre puis regarda Delduwath
Vous avez quelque chose à me reprocher ? Je crois avoir dit mon nom mais je ne connais meêm pas le votre.

Un simple petit toast, et voila que sa se transformait en bagarre de rue. Chaque caractère était explosif et toute les personnes présente ne se génait pas pour le montrer. Il vida son verre, fit un beau sourir à Nienor puis se rassit. regardant les petit coq quelques secondes.


Ils allaient tous devoir apprendre a travaillé ensemble, ils se demandait si la meillieur facon étaient qu'il se tape dessus, jusqu'a s'épuissez et qu'apres il parlerais ou si il devait les cassé lui meme.

On respire les petit gars, aujourd'hui vous êtes dans la meme alliance et qui plus est vous devez travailé de concert. En attendant si vous avez des problemes, allez les régler dehors, j'ai pas envie de voir des taches de sang dans mon auberge toute neuve.....

Puis se retourne vers Nienor

Apres un aussi long voyage auriez vous fin ma chere?

L'autre femme, Mirelen, s'en retournait vers le comptoir.
Ainsi prenait-elle la charge de l'auberge! Quel courage.
L'ambiance aggressive montante rappela à Nienor des souvenirs anciens, de quand elle était encore avec ses "oncles" mercenaires.
Tout était prétexte à bagarre générale.
Certes les hommes n'amochaient, parfois sérieusement, mais ça les forçait à devenir tujours plus forts et à se surpasser.

Argawaen avait dissipé cette ambiance par ses seules paroles.
En voilà un chef digne de ce nom!
L'attention de la renaissante se concentra donc sur ce renaissant charismatique.

"Auriez-vous faim ma chère?" avait-il demandé!
Que d'attention de la part d'un Homme de pouvoir!
Nienor ne put qu'être honorée, et rougis un peu.

Il est vrai que je suis affamée, le voyage m'a épuisée.
J'espère que vous avez des réserves car mon appétit est vorace!

Elle regarda le Chef comme une tigresse regarderait son gibier.
Elle commençait à obtenir les faveurs du renaissant, le tout était de ne pas les perdres pour pouvoir entrer dans la confrérie.

Aux paroles du seigneur Argawaen, il ravala sa fierté et son orgueil pour répondre au seigneur Hathaldir. Il était membre de la confrérie maintenant et devait apprendre à fonctionner en groupe. Il adopta une attitude décontractée, ses mains les plus éloignées de ses poignards.

....Je suis le seigneur Delduwath.

Il sourit au seigneur puis s'adressant au seigneur Argawaen et dame Nienor.

Vous parlez de manger ? Je prendrais volontiers aussi quelque chose !

Le comportement de dame Nienor l'amusait. Surtout ce qui l'intéressait, était l'attitude qu'adopterait le seigneur Argawaen. Il sourit et se dit qu'il était temps de rentrer dans le jeu.

Vous savez dame Nienor, si les réserves du seigneur Argawaen ne vous suffisent pas, il y aura toujours les miennes !

Vautrin après un long périple arriva devant l'auberge..
Il tourna la poignée de la porte et l'ouvrit d'une geste brusque...
Dans cette sombre pièce il comptemplat avec surprise les différents seigneurs et dames présents...
Il se demandait si tous faisait partie de la confrérie.. Sous sa cape marron, vautrin était sur le qui-vive... autant de seigneur face à lui ne l'impréssionnait guerre, mais le forçait à être prudent..
Sa main était poser sur son poignard prête à bondir au besoin.

Vautrin à la fois sûr de lui mais prudent s'avança vers la table..

Le seigneur Argawaen.. vous connaissez?
Une confrérie traîne dans le coin... y parait que j'y fait partie.. j'aimerais voir son chef.

Argawaen avait réussi a faire retomber la tension? Mais Hathaldir était contrarié par le départ de Mierelen, il avait voulu par lui redonner un peu de sourire, mais son geste avait eu l'effet contraire.


- Delduwath ? J'ai déja entendu votre nom. Enchanté.
Il mentait à moitié, il ne connaissait pas le seigneur, mais il avait saisi la signification de son nom. Autant s'en faire un allié...

Oui il avait très faim. Une semaine à arpenter a cheval pour rejoindre la confrérie. Mais la question ne lui était pas posée. Le chef semblait déja envouté par Nienor. Décidémment la jeune femme savait ce qu'elle voulait. Il sourit en se demandant si elle arriverait à croquer le gros matou.

Je gouterais bien à la spécialité de l'auberge, s'adressant à sa table avec une mauvaise humeur évidente.

Il remarqua alors qu'un seigneur venait de rentrer dans l'auberge, la main sur son poignard. Il se prétendait des Ombres. Hum, Hathaldir fit glisser discrètement son épée de son dos à ses côtés. Le repas risquait d'être retardé.

Apres une belle victoire le seigneur Baldrik s empressa d aller le fêter a l auberge.
En entrant dans ce lieu acommpagné par son fidéle ami Kaïzer, il sentit une forte tension entre les seigneurs, il découvrait le visage de certains de la confrérie meme de la plupart puisqu il a fait son chemin avec Argawaen.

Bonjour a vous

Il se dirigea vers le comptoir, lequel était tenue par une dame avec un visage d ange mais rempli de tristesse.Il s assit au comptoir

Couché !!! ordonna t il a son loup
Et il passa commande
Donnez moi ce que vous avez de plus fort et une gamelle d eau si vous avez??

Un Seigneur demandant à voir Argawaen entra dans l'auberge brusquement. Prêt à sortir son poignard, il en gardait la main sur le manche, ce qui eut pour effet de mettre son nouvel allié, Hathaldir, sur ses gardes.

La dame en était à se demander ce qu'il lui avait prit de vouloir faire le service dans cet établissement, alors que de toute évidence, tout ici était une excuse à déclencher une bagarre, lorsqu'un deuxième Seigneur fit irruption dans l'auberge, un canidé sur ses talons.
Se dirigeant au comptoir, il lui passa sa première commande.

Facinée par le loup, Mirelen se dépêcha de servir une (euhh je bois pas moi, un wiskey c'est fort? ) choppe à l'homme, puis elle remplit d'eau fraiche une assiette creuse qu'elle alla porter elle même devant l'animal. (Je parle du loup là hein)

C'est un bien joli compagnon que vous avez là

La jeune dame servit une chope et ramena une gamelle d eau

Elle la deposa devant Kaiser

Je fus surpris lui qui n aimait pas les inconnus se laissait attendrir par la demoiselle

Vous avez bien de la chance, il doit bien vous apprecier pour vous laisser approcher.

Oh excusez moi je me suis pas présentais, je suis Baldrik et voici mon plus fidel ami Kaïser.

Il est en tout les cas, magnifique.

Elle avait du mal à détacher ses yeux de l'animal. Son poil blanc semblait si soyeux, qu'elle n'avait qu'une envie; y glisser les doigts et le carresser.
Le renaissant se présenta et elle abandonna à regret la contemplation de la bête.
Étrangement toutefois, elle se sentait rassurée à la vue du loup et elle risqua même un léger sourire au nouvel arrivant, lui tendant la main.

Bonjour Sieur Baldrik, je suis Mirelen, ..
Elle hésita un instant, ayant encore un peu de mal à réaliser sa présence en ces lieux
...nouvellement arrivée à la Confrérie.

Mais peut-être aimeriez-vous joindre et rencontrer ces autres gens, assis à la table là bas ?

La jeune dame lui tendit la main et se présenta .
Je lui saississas délictement puis l embrassas.

Heureux de vous connaitre dame Mirelen.Mais que fait une dame si douce dans un endroit pareil.

Elle lui proposa de rejoindre d autres ombres qui se trouver a une table.

J accepte avec joie si vous m accompagnez.

Elle Fut étonnée lorsque ce ne fut non pas la main de Baldrik qui rencontra la sienne, mais ses lèvres. Elle se raidit légèrement, retirant prestement sa main. Elle n'avait plus eu cette sorte de proximitée depuis la disparition de .. Elle chassa bien vite cette idée, mais une ombre de tristesse passa dans son regard et elle baissa les yeux au sol, gênée.

Puis, ne sachant comment expliquer le contrat qui justifiait sa présence en ces lieux et la liait à la Confrérie, elle préféra détourner légèrement la question.

Je fais le service à l'auberge, comme vous le voyez. Du moins, j'essai.

Mais, à son invitation à l'accompagner à table, elle ne su plus quoi répondre.
Elle venait à peine de quitter précipitament ses nouveaux alliés et ne se sentait pas le courage de les rejoindre immédiatement.
Embarassée, elle ne savait plus quelle conduite elle devait adopter.
Le souvenir du renaissant entré immédiatement avant le Seigneur Baldrik, l'aida à se décider.

Oui, je vous accompagne, je dois prendre la commande de l'un d'entre eux.

Elle attendit que "l'homme au loup" comme elle décida de le baptiser, se dirige vers la table, avant de le suivre. Elle voulait voir si son animal le suivrait. La bête la fascinait et elle désirait rester pas très loin, afin de la contempler à souhait.
Arrivée à table, elle se dirigea vers Vautrin et lui demanda de sa voix douce, s'il désirait quelque chose.

Pourquoi cette femme le troublait autant.Elle retira sa main et se renferma sur elle-même.

Elle se décida a l accompagnée a la table.

Je fut surpris de voir que mon compagnon ne me suivait pas, il avait déserté pour rester aux côtés de la dame.

Arrivée a la table je reconnue Argawaen qui se tenait la avec d autres dames et seigneurs.

Je salua tout le monde.

Bonjour mes seigneurs puis je me joindre a vous?

Dame mirelen ramener de quoi rassasier tout le monde s il vous plait.Et m etais ca sur ma note.

Il se retourna vers Argawaen

Depuis le temps que je ne t ai vu.La derniere fois tu m as fait mordre la poussiere mais depuis je me suis entrainé durement.
J ai hâte de te faire voir mes progrés, je ne crois pas que t apprécierais.
Lui dit il tout en souriant

(hrp : dsl pour le délais mais je fut pris quelque peux avec la guerre)

Il regarda la dame a c,est coté. C,est yeux plongère dans les siens... Un frissons parcouru son échine... Non il ne devait pas. Il ce l'était promis plus jamais. Pas après ce qu'il c'était passer avant. Pourtant il ne parvenait pas a retirer son regard du sien. Sa main se déplaca doucement, comme contre sa volonté et s'approcha de celles de la renaissante.

Puis la porte souvrit, un nouveau seigneur fit son entrer. La main se les armes. Il revien a la réalité tous d,un coup. Baldrik était assi a la table avec eux et il lui avait parler.... mais que lui avait-il dit?

Oui bien sur nous verrons cela mon ami,

C,est tous ce qu'il avait trouver a lui dire. Il se leva.

Bien, je vais devoir vous quité régaler vous et restorer vous. Je dois passer chez des connaissances, les sabres de la justice. Encore une fois je vous souhaite la bienvenu au sein de la confrérie des ombres. Saché vous en montrer digne.
Il les salua et puis s'approcha de vautrin.

D'après votre allure, vous devez être le seigneur vautrin? Si la descriptions qu'on ma fait de vous était exact. Je suis argawaen, l'homme que vous cherchez. Je dois partir, on m'attend. Si vous êtes réellement vautrin rejoigner donc les autres a table et buvez. Vous êtes d'embler accepter à la confrérie de l'ombre. SI vous ne l'êtes pas.....

il le regarda longuement....

Je ne crois pas que je vous reverez de votre vivant alors.

Il lui pointa baldrik,

Ses une ancienne ombres, les autres sont tous des nouveaux comme vous. Bienvenu dans votre nouvelle famille.

Il tappa sur l'épaule de l'homme amicalement.

Puis se retourna une derniere fois et vit le visage... Il devait fuire, fuire et tous faire pour se sortir ce sen.... cette im..... enfin tous faire pour cela. Il quita la taverne.

(hrp : moi ses a partir d'ici que je me rend a la taverne des sabres ou ses dérouler la belle bagare lol. Vous pouvez rester ici aussi longtemps qu'il vous plaira et je renterais a nouveau dans le rp lorsqu'on en relancera un. Soit de retour de labas, soit pour discuté de notre guerre en court. Ou pour tous autre sujet qui vous interesserais )

Personne n'avait apporter la réponse à la question de Vautrin, mais qu'importe, l'homme qui l'intérressait était venue directement à lui.

Il l'écouta sans dire mot, une fois fini l'homme partie et Vautrin se dirigea vers la table de ses nouveau camarades. Il quitta sa main de son poignard et attrapa une chaise et s'assit.

Bien.. pris une shop.

A notre alliance, dit-il en levant son gratzch.

Le seigneur Baldrik vida le verre d un trait.
Il se leva :

Heureux d avoir pu faire connaissance avec vous dame Mirelen et sieur Vautrin mais le devoir m appelle.

Il quitta l auberge aussitôt suivit de son loup.